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Chronique Fédé: Les Vérifications du droit de circuler

Capsule: Vérification du droit de circuler

 – Les vérifications.

En utilisant des outils, tel que Google Maps et autres, on peut facilement trouver des chemins qui sont accessibles pour la circulation en 4×4. Mais avant de vous y aventurer, comment savoir si vous avez le droit? Cette capsule se penche sur les vérifications à faire avant de circuler sur un chemin inconnu.

Dans un premier temps, il faut déterminer si le terrain, sur lequel le chemin se trouve, est privé ou public. Si c’est un terrain privé, une autorisation écrite du propriétaire est nécessaire pour pouvoir circuler en toute légalité. Dans le cas d’un terrain public, des contraintes peuvent exister qui pourraient limiter votre droit d’y circuler.

Des contraintes administratives comme la délégation de gestion (ex.: ZEC, parc, terre autochtone, etc.) peuvent être en place sur certaines terres publiques. Dans ce cas, c’est le gestionnaire qui détermine qui a le droit d’y circuler et les modalités de cette autorisation.

Les contraintes environnementales comme les milieux humides, les réserves de biodiversités, les zones de protections de la faune et forêt extraordinaire, pour en nommer que quelques-unes doivent aussi être prises en considération. La présence de ces zones peut limiter votre droit d’y circuler.

De plus, la condition des ponts et ponceaux, aux croisements des cours d’eau, doit aussi être vérifiée. Si sa condition ne permet pas la circulation, des réparations devront être faites avant que la circulation soit permise à nouveau sur ce tronçon de chemin.

L’absence de signalisation vous indiquant la présence de contraintes est courante. Cela ne veut pas dire qu’il n’y en a pas. En conséquence, une vérification, sur les sources officielles, est requise avant de s’y aventurer. Il est important de consulter plusieurs sources d’informations pour effectuer une vérification complète du droit de circuler. Certaines de ces informations sont d’ordre public et d’autres doivent être achetés pour y avoir accès.

La Fédération a mis en place sur son site internet les outils et les accès nécessaires pour faire les vérifications. Elle y donne accès aux clubs qui sont membres de celle-ci. Ces informations sont régulièrement mises à jour par des bénévoles formé à effectuer ce travail.

Comme mentionné dans le précédent paragraphe, les chemins qui se retrouvent sur les cartes publiées par votre Fédération ont déjà fait l’objet de ces vérifications autant sur papier que sur le terrain. Vous pouvez compter sur leur exactitude pour savoir où circuler en toute légalité. Bien sûr, ces vérifications requièrent une implication importante des bénévoles de la Fédération et les situations sur le terrain peuvent évoluer dans le temps. Votre implication est importante pour maintenir ces informations à jour et augmenter la couverture du Réseau 4X4 fédéré.

Pour plus d’informations ou pour vous impliquer, n’hésitez pas à communiquer avec nous!

Site web de la Fédération 4×4 Du Québec : http://forum.fc4x4q.com/

Page Facebook de la Fédération 4×4 Du Québec:

https://www.facebook.com/fc4x4q/

Adresse Courriel : reseau@fc4x4q.com ou info@fc4x4q.com

Isabelle Parizeau  Fédération 4×4 DuQuébec

70 000 KM de 4×4 plus tard…

Quand on dit à notre conjointe : ”Je pars faire un tour en 4×4.”, cela signifie que l’on ne sait pas toujours l’heure ou même la journée  du retour. Pour Marc Mellet, faire  un tour, ça signifie parfois faire 70 000 km, 2 ans et 25 pays. Laissez-moi vous parler un peu de cette aventure qui a su mettre à l’épreuve un 4×4 dans le vrai sens du terme.

 

Avant d’accomplir ce long périple, il y a 7 ans de ça, Marc avait déjà tenté de rallier le Kamtchatka, péninsule volcanique de 1250 km de long située en Extrême-Orient russe qui s’avance dans l’océan Pacifique. Toutefois, un accident (tonneau), en arrivant près de la ville de Magadan, l’avait empêché de réaliser son projet. N’étant pas du genre à abandonner ses buts, Marc remet sur pied un projet de voyage afin de rejoindre la péninsule volcanique. Environ deux ans avant le grand jour du départ, Marc rencontre Jeanne-Sarah Savart qui sera sa partenaire de voyage ainsi que la rédactrice du livre qui relate l’histoire de ce voyage.

C’est à bord d’un Land Cruiser BJ75 que les deux passionnés ont décidé d’amorcer leur aventure. Ils partirent en 2012 en passant par l’Europe, la Turquie, le Caucase, L’Asie centrale, la Mongolie, la Russie et le Japon.

On n’entreprend pas de tels périples avec n’importe quel véhicule. Acheté six mille euros (8954$ canadien aujourd’hui )  en 2001 avec 270 000 km au compteur, le Land Cruiser a dû subir plusieurs modifications afin d’accomplir sa lourde tâche deux ans plus tard. Au début de l’aventure, les compteurs indiquaient déjà 434 435 km et le périple allait y ajouter 70 000 km de plus.

La motorisation : La première grande transformation concerne le changement de moteur. Le moteur d’origine étant 4 cylindres diesel de 3,4 litres (un 3b) ne développait que 90 hp (ce qui était insuffisant pour ce voyage). Le moteur a donc été remplacé par un moteur Toyota plus moderne provenant d’un HDJ80, 12 valves, turbo diesel de 4,2 litres (1HDT) faisant grimper la puissance à près de 170 hp. La modification a d’ailleurs forcé Marc à changer les supports moteurs, radiateur, alternateur, filtre à l’air, etc.

Pneumatique : Pour les pneus, ils ont opté pour des Michelin YZL, 255/100-16 et  des Toyo Open Country M/T 265/75-16 pour la partie du voyage enneigée.

Suspension : Pour cet aspect, Marc a installé des amortisseurs au gaz OME doublés à chaque roue, ainsi que des lames King Spring HD OME HHD à l’arrière.

Réservoir à essence : Afin d’avoir une bonne autonomie, le véhicule bénéficie de trois réservoirs; celui d’origine de 90 litres, un central de 95L (longue range automotive) et un troisième réservoir de 150 Litres situé à l’arrière. Cela semble faire beaucoup mais pour vivre ce genre d’aventure, le manque d’essence ne doit pas être une préoccupation.

L’argent : C’est bien sûr une des premières choses qui nous vient en tête lorsqu’on entend parler d’un tel projet, combien peut coûter un tel voyage? Dans leur cas, ils m’ont confié qu’ils avaient évalué leur budget à 1200 euros par mois, soit environ 1791$ canadien. Ce montant comprenait les visas nécessaires, la nourriture, quelques réparations et l’essence qui comptait pour la moitié du budget. Ils ont pu bénéficié du financement d’un magazine hors route français. En échange, Jeanne-Sarah devait rendre 7 pages d’article tous les mois sur leur voyage. Ils ont aussi eu la chance d’avoir une commandite majeure d’Euro4x4parts qui a beaucoup aidé, en envoyant des centaines de pièces de rechange durant le périple.

Je leur ai demandé de quoi avait l’air une journée typique pour eux. Voici ce qu’a été leur réponse; ”La découverte et l’imprévu ont été notre lot quotidien durant ces deux années. Il n’y avait pas de plan défini. À part les contraintes de visas, nous avons navigué au hasard et au gré de nos rencontres. Finalement, nous avons peu roulé, préférant rester quelque jours pour profiter d’un endroit ou des gens. Notre véhicule nous permet de bivouaquer n’importe où et d’être autonomes dans la nature ou en ville. Nous avons donc dormi principalement dans notre 4×4 ou chez les habitants qui nous invitaient. Il faut dire que notre Land Cruiser est un outil de socialisation incroyable. Il attire l’attention, les questions et permet de faire des connaissances.”.

Bien sûr nous avons voyagé par toutes les saisons. Il y a eu des périodes de froid intense et des grosses chaleurs. Durant notre passage en Sibérie cet hiver, notre chauffage, qui s’était déjà endommagé lorsque nous avons renversé le camion quelque mois plutôt, a refusé de fonctionner alors qui faisait -40 c. Nos duvets sont heureusement prévus pour de très basses températures et nous dormions avec nos chapkas sur la tête. Finalement, le plus dur n’aura pas tant été de résister au froid que de gérer notre approvisionnement en eau. Une heure pour décongeler une bouteille chaque matin, de quoi mourir de soif devant un gros glaçon.

Même si chaque jour l’excitation de la nouveauté était au rendez-vous, rien n’a égalé la dose d’adrénaline que nos aventuriers ont eue lors de la traversée du lac Baïkal. Situé dans le sud de la Sibérie, en Russie orientale. Ce lac représente la plus grande réserve d’eau douce liquide de la surface du monde, soit environ 23 500 km3. Sa transparence est unique et la visibilité parfaite (jusqu’à 40 mètres de profondeur). Il est parfois surnommé la Perle de Sibérie. Ils ont donc fait ces 400 quelques kilomètres sur le lac gelé.  Parfois en pleine tempête et en évitant les crevasses, ils ne perdaient jamais de vue que la glace pouvait céder à tout moment. À cet endroit, l’aide est tellement loin, que le temps que les secours arrivent. ils auraient sûrement eu le temps de se transformer en Mr Freeze.

C’est justement la somme de cette adrénaline et de tous les péripéties qui les a convaincus d’en faire un livre. Il ne s’agissait plus d’un simple trajet, mais bien d’une aventure qu’ils avaient envie de partager avec le reste du monde. Marc, étant photographe professionnel, pouvait  apporter une touche très personnelle que l’on peut admirer dans le livre. On peut aussi trouver un autre livre intitulé Davai Kamtchatka sur son premier voyage.

Je leur ai aussi demandé quel était leur prochain projet. Ils avaient déjà beaucoup d’idées en tête. Mais d’abord, ils devaient remettre le Land Cruiser en état puisqu’il a quand même légèrement souffert lors du dernier voyage. Un film sur leur aventure n’est d’ailleurs pas écarté des possibilités. Quant aux destinations à venir, l’Islande et l’Afrique sont les endroits qu’ils ont en tête.

Liens pour le site : https://www.facebook.com/lemondepourpassager/

Dave Daneault

Nokian Tire une compagnie pas comme les autres

 

 

 

Dernièrement grâce à l’équipe de Question Auto j’ai eu  la chance d’être invité par le fabricant Nokian à passer deux jours avec eux dans la région des Laurentides. Nous avons eu la chance d’avoir une présentation très détaillée de leurs produits. Nous avons aussi eu la chance de pouvoir tester nous-même quelques uns des produits disponibles chez la grande marque.

 

Nokian existe depuis 1918, mais la compagnie n’a pas toujours été dans le domaine du pneumatique. En effet plusieurs d’entre vous se souviendrons des fameux téléphones Nokia. La compagnie a par la suite misé sur un changement de direction et de nom.

 

La compagnie a comme credo ((Give you peace of mind in all conditions)) Vous donner la paix d’esprit peu importe les conditions. Et je crois qu’ils ont su respecter cette ligne directrice.

La compagnie se concentre beaucoup sur un haut niveau de qualité, elle vise donc les marchés indépendants plutôt que les marchés en gros. Vous ne risquez donc pas de trouver des pneus de la grande marque au Costco ou Canadian tires. Les dirigeants de la marque ont de grandes ambitions et voient très grand. Ils prévoient d’ici 2023 de doubler leurs ventes globales. Ce qui est très ambitieux dans un domaine aussi compétitif. Afin d’y arriver, Nokian est présentement en train de construire une toute nouvelle usine de production qui se trouve aux Etats-Unis, ce qui fera un total de trois en comptant celle de Finlande Nokia et Vsevolozhsk en Russie. Nokian est d’ailleurs le premier exportateur de produit de Russie.

 

Les premiers pneus que nous avons eu la chance de tester sont les ZLINE A/S qui se retrouvaient sur une Audi A4.

Ce pneu a été développé spécifiquement pour les voitures sport de luxe. Il ne se veut pas un pneu dit performance brute mais un pneu qui offre à la fois des compétences sports et en même temps offre un grand confort pour les longues routes. Parfait pour les propriétaires de Audi, Lexus etc qui veulent à la fois performance et confort sur la route. Nous avons eu la chance de tester ce pneu sous une forte pluie et je n’ai que de bons commentaires.

En fait si je voulais décrire ce modèle je dirais qu’il est prévisible, aucune surprise, il est stable même à grande vitesse et ne donne aucun kick , vous savez où il vous amène sans surprise. Le pneu se vide très bien d’eau et nous a donné en aucun cas un effet d’aquaplanage.

Lors des freinages dans l’eau le véhicule répond très bien et le pneu ne démontre aucun glissement.

Ce pneu possède aussi la technologie de protection de flanc avec fibre d’aramide, produit utilisé dans la fabrication de veste pare-balle. Résultat très impressionnant pour un pneu qui ne se défini pas en tant que pneu 100% sport haute performance.

 

Le deuxième pneus testé était un Nokian Rotiiva AT. Nous l’avons testé sur un Silverado 2018. Avec une semelle plus agressive que le Zline A/S celui-ci est pourtant surprenamment  très silencieux sur la route. Il offre une bonne tenue de route même si le camion n’avait pas de poids dans la boîte et ce, même à haute vitesse.

Le camion ne cherche pas à partir d’un coté ou de l’autre. Ce pneu a le flocon qui lui donne la vocation hivernale. Mais la compagnie s’empresse de dire que même s’il est perçu comme ça, eux ne le considèrent pas comme un pneu d’hiver. Faut comprendre que Nokian est un chef de file dans le domaine du pneu à neige/glace. Ils aiment mieux le définir comme un pneu 4 saison. Il est caractérisé par un très haut indice de charge. Parfait pour des utilisations en chantier dans les routes de gravier et pour des véhicules qui doivent avoir une forte charge. Les pneus sont munis de flancs contenant de l’aramide, une technologie développée par le centre de recherche chez Nokian. L’Aramide est un produit utilisé dans les vestes pare-balles, elle offre une protection contre les nids de poule ou d’autre autres bris dûs à un impact.

Avec une garantie de 80 000km c’est un choix intéressant. Nous n’avons pas eu la chance de le tester énormément dans les chemins non pavés mais pour le peu que nous avons vu le camion continuait de très bien répondre dans les tournants prononcés. Pour ce qui est des freinage sur chaussé humide le produit se débrouille très bien.

Parlons un peu des technologies et du développement effectué par la compagnie.

–La compagnie se démarque en offrant un modèle de clous qui se différencient de tous les autres que l’on retrouve sur le marché.  Les ingénieurs ont remarqué que les clous standards utilisés par la plupart des manufacturiers offraient des désavantages considérables. L’ajout d’un coussin entre le bas du clou et le pneu permet de ménager les surfaces en permettant au clous de se rétracter légèrement. La base carrée du clou lorsque mis sous pression venais souvent entrer en contact avec le sol ce qui réduit donc l’efficacité. Les ingénieurs ont développé une base en angle qui élimine ce problème. On retrouve aussi un pourcentage d’usure à meme le pneu.

 

–La compagnie est très au fait des problèmes de pollution et a voulu faire sa part. Les représentants de la compagnie son très fiers de pouvoir dire qu’aucun de leurs produits ne présentent de traces de produits chimiques.

 

—–Garantie : fait à noter, le fabricant offre une garantie très intéressante. Si un Hazard de route cause un bris sur un de vos pneus, il vous en coûtera que 20$ pour remplacer celui-ci. Une garantie satisfaction est aussi offerte, si dans les 30 jours suivant l’achat vous n’êtes pas satisfait on vous offre un remboursement complet du produit et non pas un crédit en magasin.

 

En conclusion, Nokian sort du lot, ils aiment sortir des sentiers déjà faits. La compagnie cherche à développer et non à suivre le marché existant. 4x4setup Magazine donne un gros Thumb-UPS à la compagnie. Je recommande à tous ceux qui mettent en priorité la sécurité de leur famille cet hiver de regarder du côté du fabricant afin d’avoir l’esprit tranquille.

A voir prochainement les résultats de nos test sur les tires Rock Proof. Pneus un peu plus hors route et cloutable.

 

 

Dave Daneault chroniqueur 4x4setup magazine .

Un monstre vert du Québec

Si vous fréquentez différents groupe Facebook de 4×4 au Québec, vous avez sûrement vu passer le Mean Green. Selon mes gouts personnels, il s’agit d’un des plus beaux setups de trail que j’ai eu la chance de voir passer. Merci¸M. Brisson, son créateur, d’avoir accepté de nous dévoiler les différents secrets de cette machine de guerre.

À la base, il s’agissait d’un Jeep Tj Rubicon 2006 avec un moteur de 4L. Maxim s’en est servi pour faire de la trail pendant quelques années, mais l’envie d’avoir un véhicule plus confortable lui est venue petit à petit. N’étant pas ( selon lui ) un gars d’extrême…il voulais seulement amiliorer un peu son Jeep afin d’avoir un véhicule plus confortable qui lui permettrait de franchir des obstacles un peu plus facilement.

Mr Brisson a insisté sur le fait qu’il a fait ce projet pour la passion et pour apprendre. Il a appris beaucoup tout au long du projet. Toutefois, cet article ne se veut pas un article qui explique comment fabriquer un 4×4. Il s’agit suelement de partager avec les passionnés un petit projet qui est devenu grand.

Ceux qui ont travaillé sur d’aussi gros projets savent qu’on ne suit pas une recette lorsqu’on commence ce type de projet. C’est un peu le projet qui nous dicte à mesure les étapes.

La première étape a donc été de faire un frame off sur le Jeep afin de se donner de l’espace pour travailler et aussi avoir une meilleure vision du projet. Le chassis a donc été buffer et repeinturé. Et à partir de là je vais laisser M. Brisson vous décrire un peu comment les étapes se sont enchaînées:

LES DIFFÉRENTIELS :

Je n’ai pas vraiment choisi mes différentiels, ils m’ont été offerts par un ami et j’ai accepté après une petite recherche. Je voulais que ce soit solide sans que ce soit trop compliqué. Pour l’avant c’est un Dana Super 60 de 2006. Pour l’arrière, c’est un GM 14 Bolt de 1997. Le super 60 est avantagé sur les Dana 60 des années antérieures sur plusieurs points; la couronne qui a normalement 9,750po a été changé pour une de 10”, les essieux ont tous 35 splines, les tubes sont beaucoups plus robustes avec une aipaisseur de 0,250po et un diameter de 3,750po, les knuckles sont aussi fait fort.                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                 Les u-joints sont des 1480 et 1350 au pinion.Un trust et les braquettes pour les controls arms Frogfab modifiés pour mes besoins ont étés insstalés. J’ai acheté un truss frogfab que j’ai modifié pour mes besoins.
Les free-locks ont été remplacés par des RCV et les essieux en 300 m également de RCV suivrons sous peu. J’ai fait machiner mes nuckles pour le convertir high steer. À l’arrière un 14 bolts qui est bien connues de tous pour sa robustesse. Un truss frogfab a été ajouté ainsi qu’un couvert Solid. L’installation de frein à disque reste à faire. Les deux différentiels sont équipés de gear 5.38 ainsi que de 2 full spool NitroGear

 

 

 

 

 

SUSPENSION :

Le-Calcul géométrique a été fait sur 4 link calculator et bien sur quelques essaies erreurs ont été nécéssaires pour obtenir les valeurs désirées. Un 4Link double triangulé ont été insstalé à l’avant et l’arrière et la belly à une hauteur de 23.5pouce. Une de mes erreurs ici a été ma vision du projet au départ, je ne prévoyais pas aller aussi loin dans les modifications. Comme je prévoyais garder le jeep pour la route je ne voulais pas toucher au frame dans la mesure du possible. Autrement j’aurais couper le frame à l’avant et l’arrière pour le rebatir plus haut ce qui m’aurais permis de pouvoir abaisser le véhicule. Toutes les braquettes d’origine du cadre ont été coupées pour faire place aux nouvelles composantes  adaptées à la nouvelle suspension.

Le super 60 ma prit  environ 12 h à néttoyer de ses composantes exterieur d’origine au grinder et au saw-all. Pour le 14 bolt seulement 1,5 h. Gageons que j’aurais sauvé beaucoup de temp avoir eu une coupeuse au plasma. Tout a été bien sûr décapé et repeint.

L’angle des pinion a été plutôt facile à définir. Étant donné la basse vitesse, j’ai opté pour un enlignement plutôt direct pour repousser le plus possible la limite des angles de drive shaft.

 

 

 

 

 

Les contrôles arms sont des tubes dom de 2po x 0,25po de mur avec tube inserts et rod end ajustables Midwest Control en chromoly 7/8-3/4. Pour l’instant, je ne ressen pas le besoin d’installer de sway bar. Le Jeep est très stable. Je n’exclue pas cette option pour plus tard.

 

Si vous regardez les photos, vous y verrez la pose des braquettes de shocks et les strut towers de type tubulaire à l’avant et en boîte à l’arrière pour permettre de garder la partie arrière du frame et garder l’habitacle du Jeep scellé.

 

 

Les shock towers ont été posés à des angles standard de 15° dans les 2 sens étant donné que je n’avais pas les shocks au moment de leur pose.

Autrement, j’aurais probablement diminué l’angle au minimum pour que les shocks suivent le plus possible l’axe du mouvement de la suspension, optimisant ainsi le spring rate et le valving. Toutes les bolts sont ” gold zinc“ grade 8. les coilovers Radflo ont été commandés avec un valving calculé pour mon projet et pour une application de rockcrawling.

 

Les coils Eibach sont arrives avec un spring rate parfait ( merci Pierre Fortin de PJF 4×4 pour le calcul!) Les reservoirs ont été installés avec un kit Procomp sur les strut-bars.

Sur les coilovers, le réglage du slider à l’avant est à 30 % de la course. Je pense changer de recette, car lorsque l’arrière descend d’une marche rapidement, ça écrase jusqu’au bump stop. Ma recette de coils actuelle est de 150lbs/150lbs. Mon prochain essai sera probablement de 100lbs/200lbs. il est trop tôt pour dire si le valving me convient. J’essaie le plus possible de regarder les videos de mes passes pour évaluer. Mon differential arrière est limité de 2po en down travel, mais seulement au centre pour respecter la limite du driveshaft, Il n’est pas limité sur les côtés. À l’avant, le down travel est ajusté à la limite des shocks. Donc, j’ai la quasi-totalité de mon flex.

The WHEEL :

Le choix de pneu a été difficile et le fait d’avoir d’avoir changé d’idée de grosseur fait en sorte que mon set-up n’est pas optimal avec un wheelbase de 110po et des pneus de 44po.

Au tout début, j’avais en tête d’installer des 39,5po irok sur mes Dana 44 d’origine. Au stade final de LA maladie, j’hésitais plutôt entre des 42 irok les 43 tsl SX et les 44 Pitbull Rocker. Interco, ayant déja fait ses preuves depuis longtemp, rendait les Irok attirants. Par contre, ils étaient plutôt bons uniquement dans la roche. Les TSL sx blindés, me semblaient avoir une gomme un peu trop dure pour mon style de confduite. Bien sûr, il existe une gomme de compétitionue sous le nom de ” sticky”, mais leur prix et leur durée de vie réduite m’a fait dévier de cette option, les Pittbull Rocker, un pneu, au dire de plusieurs, très polyvalent avec  4 couches me semblait tout à fait ce que j’avais besoin. En plus, ils offrents un beau bonus pour l’hiver avec leur 19,5po de largeur  sur la neige. Par contre, seul point négatif, ils sont facilement endommageables ! Ayant percé l’un d’eux après seulement 3 trails, j’évalue la possibilité de les garder pour l’hiver et acheter des TSL sx sticky pour l’été.

Mes Pitbullsont monté sur des split wheels de 32 bolts que j’ai fabriqués à partir de roues Procomp Rockcrawler de 17pox9po. Pour les freins, il s’agit de frein d’origine, double pistons de Dodge Ram 2500. Les conduits de liquide à frein sont tous trèssés en acier inoxydable et flexibles.

LA DIRECTION:

La conduit est Full hydro. Pour le moment, le système utilise la pompe d’origine en attendant ma pompe PSC, don’t j’ai agrandit les passages d’huile pour augmenter le debit. L’orbitrol provident d’un système de direction d’un Skytrak et donne 2,5 tours au Volant. J’ai ajouté un radiateur et une fan Permacool de 1100cfm pour refroidir l’huile.

Malgré les avertissements de plusieurs, j’ai posé le radiateur de conduite à l’avant, mais j’ai fabriqué un doc pour dévier l’air chaud à l’exterieur du hood. J’ai acheté d’un ami le cylinder double rod tout en alluminium incluant les rods. C’est un cylinde conçu pour les chars de course sur terre battue. Pour l’instant ça fonctionne à 80% de mon idéal. La pompe PSC devrait régler le problem avec une meilleur pression.

 

 

 

 

 

J’ai dû remplacer et relocaliser le reservoir à essence par une RCI de 16 gallons, ce qui est sufissant pour plus de 2 jour de trail. La pompe est une Walbro gsl1392bx avec un bypass regulator. Sur le reservoir, j’ai opté pour le système de breather F.A.T.S., idée tirée d’une des videos de Jake Burkey qui, en passant, m’ont été d’une très grande aide lors de la construction!construction!

 

Tout ce qui touche l’extérieur du véhicule a été modifié avec le même souci du detail. Le hood et les ailes, par exemple, ont été coupés au maximum de leur capacité. Plus à suivre dans un prochaine article …

  

  

 

 

En gros, voici le setup Mean Green. Nous apporterons plus de details dans la suite de l’article au fur et à mesure que les tests et l’amilioration du véhicule progresseront.

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Dave Daneault chroniqueur 4x4setup magazine

M. Brisson Collaborateur 4x4setup magazine

ALDO Racing termine sixième en catégorie au rallye Desafio Inca au Pérou

Montréal, 17 septembre 2018 —

David Bensadoun et Patrick Beaulé ont passé trois jours à défier l‘immensité de la mer de sable du grand désert d’Ica, site du rallye Desafio Ica qui s’est terminé dimanchMontréal, 17 septembre 2018 — David Bensadoun et Patrick Beaulé ont passé trois jours à défier l‘immensité de la mer de sable du grand désert d’Ica, site du rallye Desafio Ica qui s’est terminé dimanche dans la ville oasis de Huacachina au Pérou. Pour les pilotes de l’équipe ALDO Racing, le défi était de taille puisqu’ils devaient déjouer les pièges des organisateurs au volant d’un Maverick XRS côte à côte loué sur place dont ils ne connaissaient ni les atouts et surtout ni les faiblesses. Après avoir surmonté des difficultés angoissantes durant deux de ces trois journées, ils ont réussi l’exploit de compléter le rallye-raid en sixième place dans la catégorie UTV Open avec moteur turbocompressé.

Cette expérience a permis aux deux pilotes de rétablir leur complicité après deux années d’inactivité. Ce préambule au rallye Dakar 2019, qui se déroulera entièrement au Pérou et dont 70 % du parcours éreintant empruntera des chemins non balisés du désert du pays des Incas, aura permis au duo québécois de vivre de près l’intense compétition qui les attend en janvier prochain.

« L’organisation du rallye était parfaite, a souligné le copilote Patrick Beaulé. Le niveau de navigation et de pilotage était très élevé, car les planificateurs du parcours avaient pris soin de défier autant les pilotes que les copilotes. La crainte était à son comble chaque fois qu’on atteignait une dune cassée à 90 degrés à la descente. Nous avions un peu d’expérience dans les dunes, mais jamais on ne les avait traversées de long en large et dans tous ses angles possibles.

« Les leçons apprises lors du Desafio Ica sont importantes. J’ai renoué avec la navigation après deux ans d’absence et en plus, j’ai compris le style de l’organisateur au niveau des attrapes cachées dans le livre d’instructions quotidiennes (road book). David et moi avons aussi profité de l’occasion pour échanger avec des pilotes et copilotes péruviens qui nous ont expliqué comment lire et analyser les trappes de sable mou et les dunes cassées. Cette expérience nous servira lors du Dakar en janvier prochain. »

Rappel des trois jours d’activités en piste
Jour 1 : Journée de misère lors de la première des deux spéciales de vitesse de l’étape alors que le Maverick de l’équipe s’enlise sur la crête d’une dune. Sans pelle, ni cric hydraulique pour soulever le SxS, car ce véhicule n’est pas conçu pour rester pris, c’est à la main que les deux pilotes creusent le sable pour s’en sortir. Plus loin, nouveau pépin alors que le véhicule s’est renversé sur le côté. On ajoute à cela un mal du désert qui afflige David à trois occasions. Tous ces retards leur font manquer le départ de la deuxième spéciale de la journée. Ils sont derniers au classement général dans leur catégorie.

Jour 2 : Une excellente journée presque sans anicroche malgré les nombreux pièges techniques laissés par les organisateurs. Un arrêt imprévu de 10 minutes pour changer une courroie leur coûte le troisième rang de la journée. Malgré ça, ils occupent maintenant la huitième position au général.

 

Jour 3 : À 30 kilomètres de l’arrivée et sur les talons de la voiture qui les précédait, le Maverick pique du nez de l’autre côté d’une crête de dune. Sans le réaliser sur le coup, le véhicule était endommagé. Incapable de grimper les dunes, le duo s’improvise mécanicien pour réparer le ventilateur du radiateur. Au bout de 45 minutes d’efforts, ils reprennent la route et ils croisent l’arrivée au quatrième rang. En dépit de leurs ennuis de la journée, ils progressent quand même de deux échelons en catégorie pour terminer le rallye en sixième place du classement final.

Les amateurs peuvent revoir en images et par écrit les activités quotidiennes de l’équipe ALDO Racing lors de ce rallye sur leur page Facebook au https://www.facebook.com/aldoracingteam/.
e dans la ville oasis de Huacachina au Pérou. Pour les pilotes de l’équipe ALDO Racing, le défi était de taille puisqu’ils devaient déjouer les pièges des organisateurs au volant d’un Maverick XRS côte à côte loué sur place dont ils ne connaissaient ni les atouts et surtout ni les faiblesses. Après avoir surmonté des difficultés angoissantes durant deux de ces trois journées, ils ont réussi l’exploit de compléter le rallye-raid en sixième place dans la catégorie UTV Open avec moteur turbocompressé.

Cette expérience a permis aux deux pilotes de rétablir leur complicité après deux années d’inactivité. Ce préambule au rallye Dakar 2019, qui se déroulera entièrement au Pérou et dont 70 % du parcours éreintant empruntera des chemins non balisés du désert du pays des Incas, aura permis au duo québécois de vivre de près l’intense compétition qui les attend en janvier prochain.

« L’organisation du rallye était parfaite, a souligné le copilote Patrick Beaulé. Le niveau de navigation et de pilotage était très élevé, car les planificateurs du parcours avaient pris soin de défier autant les pilotes que les copilotes. La crainte était à son comble chaque fois qu’on atteignait une dune cassée à 90 degrés à la descente. Nous avions un peu d’expérience dans les dunes, mais jamais on ne les avait traversées de long en large et dans tous ses angles possibles.

« Les leçons apprises lors du Desafio Ica sont importantes. J’ai renoué avec la navigation après deux ans d’absence et en plus, j’ai compris le style de l’organisateur au niveau des attrapes cachées dans le livre d’instructions quotidiennes (road book). David et moi avons aussi profité de l’occasion pour échanger avec des pilotes et copilotes péruviens qui nous ont expliqué comment lire et analyser les trappes de sable mou et les dunes cassées. Cette expérience nous servira lors du Dakar en janvier prochain. »

Rappel des trois jours d’activités en piste
Jour 1 : Journée de misère lors de la première des deux spéciales de vitesse de l’étape alors que le Maverick de l’équipe s’enlise sur la crête d’une dune. Sans pelle, ni cric hydraulique pour soulever le SxS, car ce véhicule n’est pas conçu pour rester pris, c’est à la main que les deux pilotes creusent le sable pour s’en sortir. Plus loin, nouveau pépin alors que le véhicule s’est renversé sur le côté. On ajoute à cela un mal du désert qui afflige David à trois occasions. Tous ces retards leur font manquer le départ de la deuxième spéciale de la journée. Ils sont derniers au classement général dans leur catégorie.

Jour 2 : Une excellente journée presque sans anicroche malgré les nombreux pièges techniques laissés par les organisateurs. Un arrêt imprévu de 10 minutes pour changer une courroie leur coûte le troisième rang de la journée. Malgré ça, ils occupent maintenant la huitième position au général.

Jour 3 : À 30 kilomètres de l’arrivée et sur les talons de la voiture qui les précédait, le Maverick pique du nez de l’autre côté d’une crête de dune. Sans le réaliser sur le coup, le véhicule était endommagé. Incapable de grimper les dunes, le duo s’improvise mécanicien pour réparer le ventilateur du radiateur. Au bout de 45 minutes d’efforts, ils reprennent la route et ils croisent l’arrivée au quatrième rang. En dépit de leurs ennuis de la journée, ils progressent quand même de deux échelons en catégorie pour terminer le rallye en sixième place du classement final.

Les amateurs peuvent revoir en images et par écrit les activités quotidiennes de l’équipe ALDO Racing lors de ce rallye sur leur page Facebook au https://www.facebook.com/aldoracingteam/.

C’est un départ pour l’équipe ALDO Racing au rallye Desafio Inca au Pérou

 

Montréal, 14 septembre 2018 — Les pilotes David Bensadoun et Patrick Beaulé de l’équipe ALDO Racing ont pris le départ jeudi soir du podium d’honneur de l’édition 2018 du rallye Desafio Inca à partir de l’oasis de Huacachina situé en plein désert d’Ica dans le sud-ouest du Pérou. Ce court parcours de liaison les a menés au bivouac d’Ica d’où ils se sont élancés vendredi matin pour disputer la première étape spéciale de vitesse chronométrée de la journée. Pour les Québécois, il s’agit d’une première participation à cette course de trois jours, qui fait partie de la série Dakar Desafio Inca. L’équipe ALDO espère ainsi se remettre en forme pour le Dakar 2019 en janvier, rallye auquel ils sont déjà inscrits.

 

 

Au volant d’un véhicule hors-route côte à côte (SxS) Can-Am Maverick X3 XRS inscrit dans la catégorie 3,1 pour UTV Open avec moteur turbocompressé, David et Patrick se retrouvent parmi les 82 véhicules répartis en quatre catégories avec plusieurs subdivisions par catégorie. Ce rallye de vitesse de trois jours se terminera le dimanche 16 septembre.

 

Le départ et l’arrivée des cinq étapes du Desafio Inca se feront d’un bivouac fixe à Ica. Les deux premières journées des spéciales chronométrées de vitesse dans les sables fins du Pérou seront composées de boucles de deux tours chaque jour avec modifications majeures au deuxième passage de la journée. La cinquième et ultime étape se terminera dimanche vers 14 heures, heure locale d’Ica. Le convoi reprendra alors la route pour défiler devant la foule vers le podium d’honneur d’Huacachina.

 

Questionné à propos de ses objectifs au Desafio, David Bensadoun avait ceci à dire : « Notre objectif est de se servir de cette course pour perfectionner notre pilotage. Aujourd’hui, nous allons traverser 300 km de dunes. Une grosse journée au Dakar est d’environ 180 kilomètres ! Les pilotes locaux, inscrits en grand nombre, sont très rapides et connaissent le désert comme le fond de leur poche. Ils sont capables de très bien lire le désert. Hier, j’ai appris que lorsqu’on monte une dune et qu’on voit un soupçon de noir à la crête, cela veut dire qu’il y a un « cendrier », une expression péruvienne pour dire qu’il y a un trou rempli de sable très mou de l’autre côté de la dune. Un endroit où l’on ne veut pas aller.

 

« Il est tout à fait fascinant de voir ici le nombre de produits Can-Am construits chez nous au Québec. Le Maverick est le véhicule de course par excellence ici dans le désert du Pérou, » a conclut David Bensadoun.

 

Mercredi au Pérou, David Bensadoun et Patrick Beaulé ont eu l’occasion de faire un essai intensif du Maverick afin de peaufiner leurs réglages. « Nous sommes allés tester le Maverick et nous avons fait des changements majeurs sur la suspension et la pression des pneus. Tout était trop mou. Pour le reste, c’était magnifique; puissance, confort, espace pour les longues jambes de David et un excellent champ de vision. En plus, David est loin d’avoir perdu la main. On dirait dit qu’il avait roulé dans les dunes toute sa vie ! Les gens de la place nous ont dit de ne pas prendre cette course à la légère, car il n’est pas tombé de pluie depuis longtemps et que le sable est très mou. »

Stephan Desrochers, le coordonnateur d’ALDO Racing, est présent au Pérou pour assister les pilotes de l’équipe. Il nous donne ses impressions après deux jours passés sur place. « Le bivouac est assez grand, ce qui nous donne amplement de place pour circuler et peut-être dormir en paix. Cependant, la communication avec les mécaniciens de l’équipe péruvienne Can-Am avec laquelle nous avons un contrat de location avec service complet pour le Maverick n’est pas évidente puisqu’on ne parle pas la même langue. Seulement, l’un d’entre eux parle et comprend l’anglais, mais il faut souvent utiliser le programme de traduction Google pour passer le message. On arrive tout de même par se comprendre et l’on apprend aussi un peu l’espagnol sud-américain. »

 

À la suite de chaque journée de compétition du rallye Desafio Inca, les médias et les amateurs pourront suivre les activités quotidiennes et les résultats de l’équipe ALDO Racing sur leur page Facebook au https://www.facebook.com/aldoracingteam/. Un communiqué final sera publié le dimanche 16 septembre à la conclusion du rallye.

 

La participation d’ALDO Racing au Desafio Inca est le fruit d’un partenariat avec le Groupe ALDO, E.F. Walters, Stingray, SAJO, la Corporation Vitesse Transport, le Groupe OEC et Investissements Fesh-Fesh.

Photo de David au volant du Can-Am Maverick X3 XRS SxS

Photo de Patrick Beaulé et David Bensadoun devant le stand d’ALDO Racing

Photo de la ligne des produits Can-Am au rallye Desafio Inca

Crédit photo : Stephan Desrochers/Équipe ALDO Racing

 

Source :

Max d’Orsonnens

514-246-8909

maxdo@videotron.ca

Aldo Racing au Pérou pour le rallye-raid Desafio Inca

4x4setup Magazine supporte le mouvement SAUVONS NOTRE PASSION

INITIATIVE DU MOUVEMENT :

Depuis quelques années, tous les amateurs de sports motorisés sont de plus en plus pénalisés, car les propriétaires de sites de compétitions du Québec ressentent une pression constante initiée par des citoyens des diverses municipalités où se retrouvent des circuits de course afin que soient restreintes, voir même abandonnées leurs activités. Le 26 juin 2018, la ville de Saint-Pie de Bagot a même adopté le règlement 235 permettant au service de police d’émettre des contraventions au propriétaire et promoteurs de la piste de Sanair, et ce, durant un évènement, pour « bruit excessif ». Un complexe pourtant établit depuis maintenant 50 ans !
Ce règlement crée un précédent, et pourrait être adopté par d’autres municipalités du Québec. Ce type de règlement nuit aux activités d’une piste de course et pourrait même conduire à sa fermeture. Les amateurs de sports motorisés souhaitent conserver leurs acquis et poursuivre l’exercice de leur passion dans des milieux sécuritaires, encadrés et légaux, tout en continuant de contribuer aux revenus des municipalités pour lesquelles des taxes sont versées.
En plus de la pression que subissent les promoteurs venant des citoyens ou de certaines municipalités, les promoteurs de sites de sports motorisés ont aussi à gérer les relations avec la Commission de protection du territoire agricole du Québec. Comme la plupart des sites de courses sont actuellement sur des terrains agricoles bénéficiant de droits acquis pour avoir été utilisés à des fins autres que l’agriculture avant 1978, les promoteurs ont aussi à se battre pour faire reconnaître ces droits sur la nature des activités. Ce facteur s’ajoute aux autres éléments avec lesquels les propriétaires et promoteurs de pistes de course ont à se battre pour conserver leur piste ouverte.

OBJECTIF DU MOUVEMENT :

1. Rassembler les amateurs et les travailleurs de cette industrie pour démontrer aux citoyens, à nos dirigeants et à nos décideurs, le vrai portait et les impacts du sport motorisé au Québec. Démontrer qu’il s’agit de pères et de mères de famille, de jeunes adultes ou encore d’adolescents en devenir, pour qui le sport motorisé est une passion, un loisir au même titre que peut l’être le hockey, le soccer, baseball ou tout autre sport collectif prisé par les résidents du Québec, toutes origines confondues.
2. Faire la démonstration que l’ensemble des activités de sports motorisés est une industrie majeure dans la belle province et qu’elle génère des retombées économiques et touristiques majeures pour tout le Québec.
3. Préserver la quiétude et l’ordre public sur les routes du Québec, et préserver un bilan routier positif. Les circuits de course comblent un besoin de défoulement qui est encadré et sécuritaire. Afin de préserver l’ordre et la paix publics, il est important de maintenir nos pistes et circuits de course bien en vie afin que les amateurs de vitesse poursuivre leurs activités en circuits fermés plutôt que sur les routes.
4. L’objectif ultime du mouvement est d’obtenir des autorités gouvernementales du Québec la mise en place et l’adoption éventuelle d’un projet de loi qui rendrait obligatoire la négociation d’ententes à l’amiable entre les municipalités concernées, les propriétaires de sites de compétitions de sports motorisés et les promoteurs d’évènements, et ce, à la satisfaction des parties concernées. À défaut d’en venir à des ententes négociées, en toute bonne foi entre les parties, le gouvernement provincial se réservera le droit de nommer un médiateur spécial afin mener à terme ladite entente et ce, excluant, dans tous les cas, la fermeture ou la vente obligée des sites de compétitions déjà en place ou tout projet d’implantation de nouveaux sites.

L’INITIATEUR DU PROJET

Fort connu dans le milieu du sport motorisé depuis plus de 20 ans, monsieur Martin D’Anjou est le président des Évènements Festidrag Inc. et coproducteur et animateur de l’émission Festidrag.TV diffusée sur une multitude de plateformes télévisuelles et web. Il jouit d’une réputation exemplaire dans le milieu, possède de nombreux contacts et bénéficie d’une tribune de premier plan pour diffuser et parler du mouvement. Reconnu comme un rassembleur, monsieur D’Anjou a su s’entourer de personnalités connues et reconnues dans le milieu du sport motorisé et aussi dans le monde des médias. Tous appuient et se joignent à la cause et au mouvement.

BERTRAND GODIN, PORTE-PAROLE

Monsieur Bertrand Godin pilote automobile, formateur à l’École nationale de police de Nicolet, chroniqueur automobile, mais aussi porte-parole en matière de sécurité routière et prévention au Québec, a accepté d’emblée le rôle de porte-parole du mouvement « Sauvons notre passion ».

DES APPUIS DE TAILLE :

Plusieurs personnalités connues du milieu de sport motorisé ont manifesté leur appui au mouvement notamment :
  • Dany Bernier « Babu », animateur radio populaire dans la région de Québec ;
  • Sylvain Bourgeois promoteur d’évènements et porte-parole de « Légèrement crinqué » ;
  • Patrice Brisebois, ex-joueur de hockey de la ligue nationale et aussi pilote automobile ;
  • Patrick Carpentier, pilote automobile et chroniqueur télé ;
  • Didier Schrannen, pilote automobile et chroniqueur télé ;
  • Claude Bourbonnais, pilote automobile et instructeur
  • Andrew Ranger, pilote automobile et instructeur
  • Louis-Philippe Dumoulin, pilote automobile et instructeur
  • Jean-François Dumoulin, pilote automobile et instructeur
Pour n’en nommer que quelques-uns.
À ces personnalités de renoms il faut ajouter tous les pilotes amateurs, semi-professionnels et professionnels du Québec. Ils sont quelques milliers. Évidemment, tous les propriétaires et locateurs des différents sites de compétitions du Québec ainsi que tous les promoteurs d’évènements indépendants du monde du sport motorisé québécois. Le mouvement s’étend même à l’industrie du camionnage qui ont aussi manifesté leur appui à la cause, plus particulièrement monsieur Daniel Beaulieu de « L’heure juste du camionneur » et « Truck Stop Québec » qui profite d’un des auditoires web les plus imposants de l’industrie. Le monde de la moto est aussi bien représenté avec l’appui du constructeur connu Jean-Jacques Leduc ainsi que le pilote de Motocross« Freestyle »Benoît Milot, qui a parcouru le monde entier pour exercer sn talent exceptionnel… développé d’abord au Québec !

LE RASSEMBLEMENT DU 3 SEPTEMBRE 2018

Tous les amateurs et passionnés de sports motorisés du Québec, toutes catégories confondues, sont invités au regroupement pacifique Sauvons notre passion, le lundi 3 septembre 2018 à l’Assemblée nationale du Québec, sous le thème « JE LAISSE MA TRACE ». Nous souhaitons de façon symbolique encercler le Parlement de Québec par une chaîne humaine d’amateurs et supporteurs du sport motorisé québécois.

LE 3 SEPTEMBRE, JE LAISSE MA TRACE

Laisser notre trace ne signifie pas faire des shows de boucane, des traces de pneus ou tout geste illégal. Nous souhaitons laisser notre trace en tant que COLLECTIVITÉ et aussi pour faire la démonstration à tous, que nous ne sommes PLUS simplement des « brûleurs de gaz » ou des « crieurs de pneus ». Nous demandons à ce que notre passion soit respectée alors, le 3 septembre respectons aussi tout le monde dans le cadre de ce rassemblement. Laisser notre trace c’est nous faire voir et nous faire entendre par tous les gens qui ne nous connaissent pas avant cette journée qui sera déterminante pour le sport motorisé québécois.
L’organisation de ce rassemblement pacifique a été planifiée de façon professionnelle et sera effectuée en toute légalité. L’organisation s’est assurée d’obtenir les autorisations nécessaires à la tenue de ce rassemblement. D’ailleurs, à l’Assemblée nationale, des agents de sécurité et Ambulance St-Jean seront sur place afin d’assister les participants au cas de besoin. Un service sanitaire sera également disponible sur le site de l’évènement.
TOUTE ORGANISATION QUI SOUHAITERAIT SUPPORTER LE MOUVEMENT ET LA CAUSE EST LA BIENVENUE. NOUS VOUS RAPPELONS QUE CELA DOIT ÊTRE FAIT PACIFIQUEMENT ET DANS LE RESPECT DE L’ORDRE PUBLIC. SI VOUS REVENDIQUEZ AUTRE CHOSE QUE CE QUI A ÉTÉ DÉCRIT PLUS HAUT, NOUS VOUS INVITONS À FAIRE LES DÉMARCHES QUI S’IMPOSENT POUR CRÉER VOTRE PROPRE MANIFESTATION OU RASSEMBLEMENT. IL NE S’AGIT PAS D’UNE MANIFESTATION D’AUTRE NATURE ET OBJECTIFS QUE CEUX DÉCRITS AUX PRÉSENTES. L’ORGANISATION N’ENDOSSERA AUCUNE AUTRE CAUSE ET DÉSORDRE OCCASIONNÉ PAR DES MANIFESTANTS N’AYANT PAS LES MÊMES OBJECTIFS QUE LES PRÉSENTES.

AFFICHEZ LES COULEURS DE VOTRE ÉQUIPE DE COURSE FAVORITE !

Pour l’occasion, nous vous invitons à arborer les couleurs de votre écurie de course ou de votre pilote favori ! Portez des vêtements de course, apportez des drapeaux, flûtes et trompettes, tout ce qui aidera à nous faire remarquer et entendre !

DÉROULEMENT

  • 8 h à 12 h : Arrivée des participants (apportez votre pique-nique !)
  • 12 h : Prise de parole des intervenants (Martin D’Anjou, Bertrand Godin, politiciens, …)
  • 12 h 30 : Explications du parcours et du déroulement de la marche
  • 13 h : Départ
  • 14 h 30 : Retour au point de départ, prise de parole
  • 15 h : Fin

INFORMATIONS IMPORTANTES

DATE & HEURE :
  • Lundi 3 septembre 2018 (beau temps, mauvais temps)
  • 8 h à 12 h : Arrivée
  • 13 h : Départ de la marche
LIEU :
Assemblée nationale du Québec, 1035 rue des Parlementaires, Québec, QC, G1A 1A3
SITE WEB :

DÉPLACEMENT ET STATIONNEMENTS

** Ne vous dirigez pas vers la Colline parlementaire avec votre véhicule. Il ne faut pas congestionner le Vieux-Québec et la Colline parlementaire et troubler l’ordre public. Il faut minimiser les impacts négatifs et les débordements de gens ou groupes mal intentionnés qui pourraient nuire à l’image du mouvement.
Afin d’éviter la congestion et le manque de stationnements, nous vous recommandons fortement d’utiliser les Parc-o-bus et le service de transport du RTC.
Informations sur les parc-o-bus :
Prévoir un itinéraire :
Informations sur les parcours, horaires et arrêts :
Le tarif en monnaie exacte est de 3,50 $ par déplacement, pour plus de détails :
Vous pouvez également utiliser « RTC Nomade temps réel » pour l’information en temps réel. L’application mobile peut être téléchargée sur l’Apple Store et Google Play :

LOI SUR LES CONVOIS

L’organisation du rassemblement « Sauvons Notre Passion » tient à préciser qu’elle n’est pas responsable de l’organisation de convois pour le déplacement au lieu de rassemblement. Ce sont des initiatives externes. Cependant, nous invitons fortement les organisateurs de convois à s’informer sur la façon de procéder pour l’organisation d’un convoi légal.
Comment monter en convoi et être légal ? — Loi sur les convois.
335. Le conducteur d’un véhicule routier qui en suit un autre doit le faire à une distance prudente et raisonnable en tenant compte de la vitesse, de la densité de la circulation, des conditions atmosphériques et de l’état de la chaussée.
336. Sur un chemin public où la vitesse maximale permise est de 70 km/h ou plus, les conducteurs de véhicules routiers qui circulent en convoi doivent laisser, entre eux un espace suffisant pour permettre à ceux qui les dépassent d’occuper sans danger l’espace intermédiaire.
Vulgarisation :rester à une distance sécuritaire de la voiture devant vous, tout en considérant les conditions environnantes (circulation, météo, état de la route, etc.). Il faut également permettre aux personnes qui voudraient dépasser le convoi de pouvoir s’insérer entre les voitures du convoi et de continuer le dépassement dans la voie de gauche lorsque voulu.

LOI SUR LES VÉHICULES MODIFIÉS

Voici ici quelques lois sur les voitures modifiées qui pourraient vous aider à éviter des contraventions.

REMERCIEMENTS SPÉCIAUX

Nous sommes très heureux de l’organisation de cet évènement et le tout ne serait pas possible sans tous ces gens passionnés qui ont participé à la création des documents, des vidéos promotionnels, du site Internet et bien plus. Nous tenons également à remercier : le lieutenant Richard Hamel, du Service de Police de la Ville de Québec, madame Karina Leblanc et madame Brigitte Bédard de la Direction de la Sécurité du Parlement.

Les secrets cachés de Jeep

Au fil des ans la marque Jeep nous a habitués à cacher quelques surprises dans leurs véhicules. Plus communément appelés Easter Eggs en anglais ou œufs de pâques, ces petites surprises se définissent souvent en représentation, un peu partout sur le véhicule, en lien avec le modèle ou la marque de celui-ci. En voici quelques-un dans différents modèles du fabricant. Plusieurs de ceux-ci se retrouvent dans le jeep Renegade.

Commençons par une des plus populaires , la pédale repose-pied du jeep Renegade, qui représente en fait un code morse. N’ayant pas personnellement fait partie des scouts étant jeune, j’ai dû consulter le web et le code voudrait en fait dire.

Sand.

Snow

River

Rock

On passe ensuite au pare-brise avant et arrière, où le fabricant a décidé de cacher quelques petits dessins. Dans la vitre avant, on a placé un dessin du classique Jeep Willys, jeep envoyé pour l’armée américaine lors de la Deuxième Guerre mondiale. 

On le retrouve entre autres dans le Jeep Renegade, le Grand Cherokee, le Wrangler et le Cherokee.

Pour la vitre arrière du Renegade, on retrouve une représentation du sasquatch, un emblème de vie hors des villes.

 

On va passer rapidement sur le prochain, la compagnie a placé à plusieurs endroits et sur plusieurs modèles le logo de la grille avant du jeep à 7 fentes. Vous en retrouverez un peu partout c’est-à-dire dans les lumières avant et arrière du Renegade, gravé dans la console de miroir, porte arrière du coffre et à plusieurs autre endroit.

 

 

Plusieurs cartes se retrouvent dissimulées dans les véhicules. Dans la majorité des cas il s’agit de la carte de l’Utah, endroit très prisé et reconnu pour ses attributs hors route. Dans les consoles appuis bras, dans l’espace rangement des portes, compartiments de rangements devant votre levier de vitesse.

 

Le fameux X qui n’a pas été très populaire auprès du public que l’on peut voir sur les feux arrière du modèle Renegade se retrouve à quelques endroits sur le véhicule. Le X est une représentation afin de rappeler celui que l’on retrouve sur les bidons d’essence que l’on retrouvait sur les premiers jeeps envoyés au combat.

 

On en retrouve sur le toit, ou dans les porte-verres au fond. On peut apercevoir aussi une araignée lorsque l’on ouvre la porte du réservoir d’essence. Cette représentation se veut l’image du type de bestiole que l’on peut retrouver dans les lieux plus éloignés.

Certains diront qu’on peut trouver environ 30 à 40 secrets comme ça, mais en voici les principales selon nous. Il s’agit quand même de beaux efforts de la marque afin de faire un petit quelque chose de plus même si ça n’apporte rien aux performances du véhicule.

Dave Daneault chroniqueur 4x4setup magazine

Restaurer de vieux outils

Dans le monde du hors route une grande partie des passionnés sont aussi passionnés de fabrication. Vous avez sûrement constaté, dans l’évantail d’articles du magazine, que nous essayons de couvrir aussi cet aspect qui, selon nous, est très important pour nos lecteurs. Ce qui m’amène d’ailleurs à ma petite chronique de cette semaine.

Je suis moi-même très intéressé par les outils neufs ou anciens et particulièrement par la restauration de vieux outils. C’est d’ailleurs un ami proche qui m’a fait découvrir cet aspect des outils.

Cette semaine j’ai décidé de vous montrer la restauration que j’ai faite d’un étau.

Il y a plusieurs avantages à restaurer un outil plus ancien. Dans certain cas, vous pouvez sauver un montant considérable d’argent. Malheureusement ceci n’est pas garanti à chaque fois, tout dépend si vous réussissez à dénicher une perle rare. Dans mon cas c’est ce qui est arrivé. Je cherchais depuis longtemps un étau robuste, ceux qu’on retrouve dans les magasins à grande surface sont souvent petits ou manquent de robustesse. Oui je sais qu’il est possible d’en trouver des gros très résistants, mais les coûts sont au-delà du budget que je voulais consacrer à cet achat.

Donc, un ami à moi possédais, via son père, un vieil étau. Je me suis  arranger avec lui en procédant à un un troc contre un autre outil qui ne me servait plus. L’étau paraissait un peu mal en point, mais bien sûr la rouille donne souvent une impression pire que la réalité.

 

J’ai donc commencé par un bon nettoyage avec un produit décapant assez puissant pour retirer les vieilles graisses et saletés logées depuis plusieurs années.

 

 

 

 

 

 

Par la suite, afin de retirer la rouille, nous avons passé un sablé au buffer à la grandeur de l’outil, mais étant donné le nombre de ”racoins” on à complété à la main et avec une brosse d’acier.

 

Une fois le rouille retirée, nous avons pu constater les dommages. On s’est aperçu qu’il y avait un trou sur le devant de l’étau qui avait été à l’époque rempli avec une sorte de pâte. On a donc retiré cette pâte à l’aide d’un buffer et tout nettoyé de nouveau.

 

J’ai rempli le trou en soudant par-dessus et ensuite fait disparaître les traces de la soudeuse à l’aide d’un buffer.

J’ai ensuite choisi une couleur que je trouvais à mon goût, et pris soin de choisir une peinture possédant une bonne résistance.

 

 

 

J’ai par la suite graissé les parties mobiles. Étant donné que nous avons parfois des pièces un peu plus fragiles, j’ai acheté deux protèges-serres qui évitent d’abîmer les morceaux que vous y pincez.

 .

Et vous quel outil avez-vous restauré ?

Dave Daneault, chroniqueur 4×4 set-up magazine.

De l’overlanding de luxe

La compagnie Black Series Campers inc. est une entreprise familiale qui est en affaires depuis maintenant près de 10 ans. Nous leur avons demandé si le marché Canadien était dans leur ligne de mire et leur réponse fut assez claire : la compagnie a déjà approché certains commerçants du Canada.  Leurs remorques respectent les standards DOT. La famille a ainsi produit environ 10 000 remorques depuis leur début.

Cette semaine je vous présente un super produit : un campeur hors-route produit par eux. Sachez que plusieurs modèles sont disponibles mais je voulais vous présenter un de ceux qui ont attiré mon attention par sa qualité de conception.

Il est donc possible de choisir parmi  8 options. Dépandament de vos besoins, 4 modèles que je décrirais plus comme des remorques dépliables… Ou 4 types roulotte hors route. Votre choix sera bien sûr motivé par vos besoins, types d’excursions, types de terrain et, bien sûr, votre budget.Le modèle que j’ai décidé de vous présenter est le modèle HQ19, qui est selon moi le modèle le plus haut de gamme qu’offre la compagnie.

 

SUSPENSION:

Du côté de la suspension la compagnie a travaillé à développer une suspension la plus solide possible. Ils ont fabriqué eux-même les bras de suspension. C’est un système à quatre amortisseur qui vient travailler sous le véhicule.

 

L’INTÉRIEUR:

L’intérieur offre un luxe très surprenant . Des produits de qualité comme les fini bois ou même les vrais cuirs donnent un look assez tape-à-l’oeil. Beaucoup de luxe que certain pourrait juger inutile en sentier mais qui pour d’autre pourrait être très apprécié.

 

  

La compagnie offre une garantie raisonnable de 5 ans sur la structure et plusieurs autres composantes.

 

LES PIÈCES :

Salle de bain toute équipée comprenant toilette, un évier, une douche et même une machine à laver.

 

La cuisine comprend les accessoires habituels sois le four, le micro-onde, et le réfrigérateur

 

La chambre à coucher offre une très bonne dimension pour le lit ainsi que du rangement.

Les deux panneaux solaires de 150 watts montés sur le toit de la remorque vous permettent de recharger vos 4 batteries ce qui est un gros plus lorsque vous êtes loin des points de services.

En ce qui concerne le prix… Bien on parle d’un 59 999 $ US.. Mais si vous trouvez le prix un peu trop élevé pour votre budget, sachez que la compagnie offre beaucoup d’autres modèles adaptés à plusieurs sortes de portefeuilles.

Le système d’attache remorque est un système conçu pour le hors route qui vous permet une rotation de 360 dégrée. Ce petit avantage n’est pas à négliger pour les amateurs de sentier plus… vallonneux.

Comme le modèle PATRON par exemple qui est beaucoup plus petit et qui offre une expérience un peu moins luxueuse, mais tout autant agréable selon nous.

PATRON

Qui est affiché à un prix de vente de 22 999 $ US.

Ce modèle est plus de type remorques dépliables. Il possède le même setup de suspension indépendant avec quatre amortisseurs que les autres modèlent, Setup conçu d’ailleurs par la compagnie. Le modèle comprend une cuisinière extérieure en acier inoxydable. Avec une cuisinière intégrée et un brûleur à trois ronds. La tente peut être montée facilement en 8 minutes par deux personnes.

 

 

 

Ce modèle possède deux espaces-lits de grandeur très raisonnable munie d’éclairage à la D.E.L..

Étant donné la grosseur de ce modèle, qui est plus petit, il est bien sûr plus facile pour vous d’attaquer des terrains plus avancés.

 

Voici un petit album des différents modèles disponibles. Vous trouverez tout l’information sur leur site web à l’adresse suivante: https://www.blackseriescamper.com/index.html

Petits trucs de calcul de matériel pour vos projets.

Bonjour chers lecteurs de 4×4 setup. 

C’est Michael, le soudeur, qui vous écrit pour vous donner quelques trucs pour calculer vos matériels et comment calculer vos angles de façon facile. 

Commençons par comment calculer le materiel dont vous aurez besoin pour votre projet. 

Pour calculer du tube rond ou carré, un ruban à mesurer est pas mal la seule façon de bien mesurer. Pour faire plier des morceaux ou calculer des plaques, les prochain trucs vont vous aider. 

Première chose, quel matériel voulez–vous utiliser pour votre projet? C’est sûr qu’un bumper en aluminium ou en stainless va vous coûter un prix de fou. Mais une skid plate faite en aluminium est belle et assez forte.  

Quand vous avez choisi votre materiel, vous devez compter quelles dimensions vous avez de besoin. Il y a plusieurs différentes façons de calculer le materiel nécessaire.

Le façon la plus facile est celle avec le carton. Allez au magasin pour les décorations et bricolage allez vous chercher quelques feuilles de carton minces. Après, faites un assemblage/decoupage de votre morceau en carton pour que vos morceaux de carton vous donnent une appreciation réaliste des dimensions de chaque pièce. Vous pouvez couper et coller vos morceaux ensemble et voir votre création prendre vie. Ou, si vous faite des réparations sur votre véhicule, vous pouvez avoir des morceaux qui feront exactement a leur place. 

Après  quelques fois et quelques années à faire des réparations, vous en viendrez à être capable de tracer sur une feuille de métal avec quelques mesures. Mais en attendant, un modèle en carton reste la façon la plus facile et la moins coûteuse de procéder. 

Vous pouvez aussi juste mesurer et prendre notes de vos grandeurs. Toutefois, ça laisse un peu plus de place à l’erreur.

Avec ces trucs vous êtes capable de calculer ce dont vous avez besoin. N’oubliez pas que si vous devez l’attacher sur votre véhicule, vous devez planifier avoir assez de place pour vos mains et un ratchet! Sinon vous risquez de vous détester!  

Un des aspect de la fabrication avec lequel beaucoup ont de la difficulté est de calculer les angles pour pouvoir faire suivre les angles de votre véhicule. 

La façon très complexe est de prendre un rapporteur d’angles pour trouver vos angles, couper en consequence et essayer de faire fonctionner le tout ensemble.

Façon facile et efficace: dans mon cas, je prend une baguette à souder en aluminium pour t.i.g et je plie la baguette pour avoir le même angle. Après je mets la baguette sur ma table de travail avec un carton ou un morceau de bois. Je trace ensuite l’angle que je viens de ”calquer” et ensuite, je trace une ligne de la même largeur que mon morceau parallèle à ma première ligne. Là où les ligne se joignent, vous aurez votre angle à couper avec aucun des morceaux plus gros que l’autre ou de remplissage inutile à faire. 

Si vous voulez faire plier des morceaux sauf que vous ne savez pas l’angle nécessaire, certaines shops vont être capable de plier un tube ou un morceau si vous leur apporter une baguette pliée avec les profils que vous voulez. 

J’espère que ces trucs vont vous aider dans vos projets futurs. 

Michael Couturier 

@Michaelmobilewelding sur Facebook. 

Crédit photo principale de l’article: Crummy Welding, LLC

visitez leur site web: http://www.crummywelding.com/