Montréal, 15 janvier 2019 – L’aventure de David Bensadoun et de son copilote Patrick Beaulé de l’équipe ALDO Racing au Dakar 2019 est terminée. Parsemée de multiples embûches, la 41e édition du rallye aura été l’une des plus infernales des dernières années. Ajoutez à cela, l’équipe ALDO qui étrennait une voiture qui a été ennuyée par des soucis à deux reprises. Ce n’est pas la faute du constructeur sud-africain Century Racing si la voiture a passé un peu trop de temps en mer à voyager entre l’Afrique et l’Amérique, puis l’aller-retour de l’Amérique à l’Asie pour le Rallye Silk Way qui ne s’est pas matérialisé pour l’équipe et ce dernier voyage vers la France avant de reprendre la mer pour se rendre au Pérou. L’humidité en mer aura fait son ¦uvre de corrosion sur les fils du distributeur d’allumage. Le vert-de-gris causera la panne terminale de la troisième journée du Dakar.

« Au début de la spéciale, nous avons commencé à avoir un ennui électrique qui perturbait l’alimentation en carburant, a déclaré David Bensadoun. Le problème s’est amplifié au kilomètre 50 du secteur sélectif et lorsque nous sommes arrivés au kilomètre 60, tout a empiré. Le moteur coupait constamment. Nous avons vérifié tout ce qui était sous le capot moteur. Il n’y avait rien à faire dans l’immédiat. »
30e avant l’abandon
S’élançant du 66e rang dans la catégorie voitures à Lima, ALDO Racing avait glissé de six positions au terme du premier secteur sélectif du Dakar. La deuxième journée à partir de Pisco a été plus fructueuse pour l’équipe canadienne qui a fait un bond prodigieux pour se retrouver 38e après avoir passé correctement les huit points de vérification menant à l’arrivée à San Juan de Marcona. Au deuxième point de vérification de la troisième journée, nos Québécois occupaient le 30e rang avant d’abandonner.

Parce que le Dakar est tellement exigeant sur la mécanique et les risques, les organisateurs du rallye ont permis aux concurrents qui avaient abandonné en première demie de réintégrer la course après la pause mi-rallye du samedi 12 janvier. Bien reposés, David et Patrick ont pu reprendre la route dimanche dans une course à classement séparé pour semi-marathoniens.
Dakar, prise 2
À la reprise du rallye dimanche, le prototype CR6 de l’équipe ALDO Racing était de retour sur les pistes du désert du Pérou pour participer à la seconde moitié du Dakar 2019.

« Nous avons amorcé la course du secteur sélectif 6 vers 13 heures et notre embrayage s’est brisé dans les dunes de Tanaka à 14 heures. Avec l’aide de notre équipe, nous avons retiré la boîte de vitesses, remplacé le disque d’embrayage défectueux. Puis, nous avons navigué vers la sortie du désert en pleine noirceur vers 21 h 30. À cause des dunes folles et du sable mou, ça nous a pris deux heures pour rouler quatre kilomètres jusqu’à la route. Nous savions qu’en recevant de l’aide extérieure, nous serions de nouveau exclus de la course.

« Nous voulions vivre l’aventure et nous l’avons trouvé. C’est toujours triste de déclarer forfait, mais nous aurons plein d’histoires et d’aventures à raconter. Nous avons tout tenté pour demeurer dans la course. Le Dakar est toujours une aventure difficile, mais cette année, c’était infernal, » a conclu Bensadoun.
Le Dakar 2019 se poursuit jusqu’au jeudi 17 janvier. Les grands vainqueurs seront fêtés à Lima, la capitale du Pérou. Vous pouvez suivre le déroulement du rallye en direct sur le site du Dakar au : https://gaps.dakar.com/2019/dakar/aso/ukie.
La participation d’ALDO Racing au Dakar est le fruit d’un partenariat avec Groupe ALDO, E.F. Walters, Stingray, SAJO, la Corporation Vitesse Transport, le Groupe OEC et Investissements Fesh-Fesh.
Photo 1 : Le CR6 d’ALDO Racing souffle un nuage de poussière de sable
Le CR6 d’ALDO Racing souffle un nuage de sable lors de la première étape du Dakar 2019.
Crédit photo : Victore Leuter
Photo 2 : Impasse à cause d’un camion
Le CR6 d’ALDO Racing a perdu 40 minutes lors de la troisième journée, stoppé dans un ravin ensablé et bloqué par un camion. Ce camion tentait de remorquer une voiture endommagée par un véhicule côte à côte qui était juché ou encastré sur le toit de la voiture. Regardez de près, derrière le camion.
Crédit photo : ALDO Racing
Photo 3 : À la recherche d’une solution au problème électrique
Les membres de l’équipe ALDO travaillent à résoudre le problème électrique lors de la troisième journée du Dakar.
Crédit photo : ALDO Racing
Photo 4 : Le CR6 à l’assaut d’une dune le dimanche
Le CR6 d’ALDO Racing roule à plein régime à l’assaut d’une dune lors de son retour en piste dimanche.
Crédit photo : Vinicius Branca
Photo 5 : Remplacement du disque d’embrayage
Devant un David Bensadoun pensif, les mécanos de l’équipe ALDO Racing ont dû retirer la boîte de vitesses, avant de remplacer le disque d’embrayage du CR6 lors de la journée de dimanche.
Crédit photo : ALDO Racing
Source :
Max d’Orsonnens
514-246-8909
maxdo@videotron.ca





































Je dois trouver les mesures vu les coins en 45 degrés et comment le tout va s’aligner. J’ai passé 8 heures à souder, couper et ressouder pour avoir les résultats que je cherchais. Une fois le tout placé et »tacké » ensemble, je peux finalement tout souder. Pour pouvoir me rendre à cette étape, j’ai dû recommencer le projet 2-3 fois. Entre ma vision et celle de mon client, on a dû travailler ensemble pour le plan. Mais entre mes dessins et sa vision, il y avait des zones grises.
Ceci arrive assez souvent. Il va toujours y avoir un retard à cause qu’une mesure ne fonctionne plus, le plan change ou vous voyez que ça ne fonctionne juste pas. Ne vous découragez pas, j’ai plusieurs projets que j’ai commencé et qui ont tourné en un cauchemar. Prenez du recul et réévaluez la situation pour reprendre votre projet avec une tête fraîche et de nouvelles idées pour surpasser les problèmes rencontrés.


En effet vous avez beau avoir n’importe quel kit de suspension, vous n’améliorer jamais votre garde au sol au-delà de ce que la grosseur de vos pneus peuvent vous donner. Le portal lui c’est exactement ce qu’il fait, votre essieu qui arrive normalement au centre de votre roue se verra décentré, ce qui donnera de la hauteur à votre différentiel par rapport au sol.
Il s’agit d’un avantage majeur pour ceux qui font du hors route. Le système d’engrenage enlève énormément de stress sur vos composantes. En fait, il permet une augmentation d’environ 200% torq (selon certaines sources) pour presque un effort équivalent avec un système d’essieux standard. Pour donner un exemple, c’est comme faire du vélo, lorsque l’on utilise la grande gear, l’effort est beaucoup moins grand sur le pédalier pour faire tourner la roue et par le fait même le stress sur les genoux beaucoup moindre.
Grâce à cet avantage, il est donc possible de rouler de plus petite composante, par exemple il est moins nécessaire de rouler de très gros différentiels HD. Certains sont d’ailleurs toujours un peu surpris de voir la grosseur des différentiels de Humvee de l’armée américaine qui sont petits. Plus petite pièce égale donc réduction de poids ce qui entraîne une meilleure performance du véhicule. Autre petit avantage permet l’installation d’un système de contrôle de l’air dans vos pneus, qui est impossible de passer dans un Cv joint. Option assez rare dans le domaine du hors route cependant.
Par exemple lorsque vous frappez une roche l’Energie du choc se transfère au travers votre suspension qui en élimine une grande partie. Pour ce qui est des composantes sous la suspension comme les roues, les différentiels ou même les portals, ils absorbent directement les chocs. Les portals ne sont pas faits pour la haute vitesse, donc si votre véhicule est un daily et que vous avez à vous en servir sur l’autoroute à des vitesses au-dessus de 100km/h, il ne s’agit pas d’une bonne option pour vous. Plus de pièces veut dire aussi plus d’entretiens, le système d’engrenage requière de l’huile afin de bien lubrifier les composantes mécaniques du système.
Il vous faudra donc changer les huiles a des fréquences variantes selon le type d’utilisation ou la contamination de ceux-ci. Pour fini le prix, il est pour certain pas un désavantage, car tout a un prix, mais pour certain il en est un gros. En effet il est très dispendieux de se procurer un kit d’essieux portal. Par exemple un kit Mopar peut tourner autour de 12 500$ pour le devant et environ 11, 000 $ arrière. Il est donc souvent préférable de magasiner un usagé comme ceux d’unimog qui sont très populaires. Vous pouvez vous trouver ceux-là pour environ 2500 à 4000 $ pour la paire dans l’usagé.

Mais quelqu’un qui avait une conduite normale et qui garde le même genre de conduite va gagner en économie… Pour ce qui est du plus fragile, ça dépends si vous avez le bon programmeur pour votre moteur (j’en ai essayé des cochonneries et d’autres vraiment bien) et du chauffeur car oui c’est généralement très solide un diesel mais avec quelqu’un qui n’utilise pas sa logique comme je disais dans le précédent article, c’est facile à briser.
Le gain ? En fait, plus un camion consomme, plus la différence est grande, exemple, un qui roule stock à 13L/100km va descendre de 1-2L mais un qui roule à 28 va probablement descendre de 6-7L peut-être même plus.
Ouin mais mon beau-frère écolo dit que… Le beau-frère a raison, mais toujours s’il conserve son habitude de rester proche de la sortie d’exhaust de son pick up… Si on regarde de l’autre côté, enlever l’urée qui est vendu dans un contenant en plastique qui est souvent lui-même dans une boite en carton, doit être aussi être créer et transporté, donc indirectement de la pollution, une zone un peu moins grise que le DPF mais qui reste discutable…