Archives de catégorie : Actualité

Journée de rêve 4x4setup magazine deuxième édition

Cette fin de semaine avait lieu la deuxième édition de la journée de rêve pour les enfants malades ou souffrant d’handicap et leurs familles.

 

Encore cette année les bénévoles et les familles participantes étaient présentes en grand nombre pour la deuxième édition de l’activité. Journée qui a pour but de faire passer une journée de rêve à des jeunes vivant des problèmes de santé au travers notre passion du hors-route.

 

La température froide, les grands vents ainsi que la pluie n’ont pas découragé l’armée de bénévoles et les familles participantes de se présenter à l’événement. La journée a débuté par l’association des jeunes au véhicules/bénévoles avec lesquels ils étaient jumelés. Plusieurs choix de véhicules et de type de modification s’offraient à eux. Une fois les familles associées à leur véhicule, départ pour la phase 1, début de la randonnée en sentier. Étant donné la température pluvieuse nous avions une bonne quantité d’eau/boue sur le parcours ce qui n’a bien sûr pas déplu aux enfants présents. Petit pause au sommet du parcours au Bunker militaire, ancien bunker ayant appartenu aux Forces Armées Canadiennes. Lieu historique servant de ligne d’avertissement à l’armée Américaine en cas d’invasion. Après une descente par un autre sentier, nous avons pu profiter d’un lunch entièrement offert par des donateurs anonymes ainsi que l’aide pour la préparation de l’équippe Tuperwarre, Tupp Québec ainsi que Véronique Bilodeau, Jessica Labrie et bien sur ma conjointe Andrée Théiault. Les équipes ont profité de ce temps de pause pour faire connaissance avec les familles, prendre quelques photos et s’amuser devant un bon repas.

 

En après-midi l’équipe s’est attaqué à un plus grand défi, en effet la pluie a beaucoup affecté la deuxième parti du parcours qui se veut une section rockcrawling. Pour plusieurs, l’imposante montée a offert des émotions fortes. Cette section est un peu plus technique et a pu offrir, autant aux participants que certains chauffeurs, du plaisir.

 

 

 

En résumé, la deuxième édition fût un succès. Pour ma part, le succès de notre événement se défini par un seul critère, le bonheur des enfants. Et nous avons pu voir au courant de la journée des sourires, des remerciements, de la joie et même parfois un peu de peur. Nous n’avons pas la prétention de dire que nous changeons des vies, ou des situations mais je crois que tout le monde qui ont participé de loin ou de proche à cet événement peuvent être fiers d’avoir donné des sourires cette journée-là.

 

Pour ma part je tiens à remercier tous les bénévoles et chauffeurs qui ont donné leur temps, leur véhicules, leur argent (inscription pour le terrain) et je tiens aussi à remercier les bénévoles de l’équipe EHR Atraxion fidèle partenaire et commenditaire de l’événement.Pour ce qui est des repas fournis aux familles et bénévoles, le domaine du radar qui nous reçois chaque année et qui nous offre un super terrain de jeux. Et pour finir Starlight Canada qui pour une deuxième année nous a fait confiance pour cette journée.

 

 

Nous travaillons à faire un autre événement du même genre dans un autre endroit ……

Dave Daneault 4x4setup Magazine

Chronique Fédé: Les Vérifications du droit de circuler

Capsule: Vérification du droit de circuler

 – Les vérifications.

En utilisant des outils, tel que Google Maps et autres, on peut facilement trouver des chemins qui sont accessibles pour la circulation en 4×4. Mais avant de vous y aventurer, comment savoir si vous avez le droit? Cette capsule se penche sur les vérifications à faire avant de circuler sur un chemin inconnu.

Dans un premier temps, il faut déterminer si le terrain, sur lequel le chemin se trouve, est privé ou public. Si c’est un terrain privé, une autorisation écrite du propriétaire est nécessaire pour pouvoir circuler en toute légalité. Dans le cas d’un terrain public, des contraintes peuvent exister qui pourraient limiter votre droit d’y circuler.

Des contraintes administratives comme la délégation de gestion (ex.: ZEC, parc, terre autochtone, etc.) peuvent être en place sur certaines terres publiques. Dans ce cas, c’est le gestionnaire qui détermine qui a le droit d’y circuler et les modalités de cette autorisation.

Les contraintes environnementales comme les milieux humides, les réserves de biodiversités, les zones de protections de la faune et forêt extraordinaire, pour en nommer que quelques-unes doivent aussi être prises en considération. La présence de ces zones peut limiter votre droit d’y circuler.

De plus, la condition des ponts et ponceaux, aux croisements des cours d’eau, doit aussi être vérifiée. Si sa condition ne permet pas la circulation, des réparations devront être faites avant que la circulation soit permise à nouveau sur ce tronçon de chemin.

L’absence de signalisation vous indiquant la présence de contraintes est courante. Cela ne veut pas dire qu’il n’y en a pas. En conséquence, une vérification, sur les sources officielles, est requise avant de s’y aventurer. Il est important de consulter plusieurs sources d’informations pour effectuer une vérification complète du droit de circuler. Certaines de ces informations sont d’ordre public et d’autres doivent être achetés pour y avoir accès.

La Fédération a mis en place sur son site internet les outils et les accès nécessaires pour faire les vérifications. Elle y donne accès aux clubs qui sont membres de celle-ci. Ces informations sont régulièrement mises à jour par des bénévoles formé à effectuer ce travail.

Comme mentionné dans le précédent paragraphe, les chemins qui se retrouvent sur les cartes publiées par votre Fédération ont déjà fait l’objet de ces vérifications autant sur papier que sur le terrain. Vous pouvez compter sur leur exactitude pour savoir où circuler en toute légalité. Bien sûr, ces vérifications requièrent une implication importante des bénévoles de la Fédération et les situations sur le terrain peuvent évoluer dans le temps. Votre implication est importante pour maintenir ces informations à jour et augmenter la couverture du Réseau 4X4 fédéré.

Pour plus d’informations ou pour vous impliquer, n’hésitez pas à communiquer avec nous!

Site web de la Fédération 4×4 Du Québec : http://forum.fc4x4q.com/

Page Facebook de la Fédération 4×4 Du Québec:

https://www.facebook.com/fc4x4q/

Adresse Courriel : reseau@fc4x4q.com ou info@fc4x4q.com

Isabelle Parizeau  Fédération 4×4 DuQuébec

70 000 KM de 4×4 plus tard…

Quand on dit à notre conjointe : ”Je pars faire un tour en 4×4.”, cela signifie que l’on ne sait pas toujours l’heure ou même la journée  du retour. Pour Marc Mellet, faire  un tour, ça signifie parfois faire 70 000 km, 2 ans et 25 pays. Laissez-moi vous parler un peu de cette aventure qui a su mettre à l’épreuve un 4×4 dans le vrai sens du terme.

 

Avant d’accomplir ce long périple, il y a 7 ans de ça, Marc avait déjà tenté de rallier le Kamtchatka, péninsule volcanique de 1250 km de long située en Extrême-Orient russe qui s’avance dans l’océan Pacifique. Toutefois, un accident (tonneau), en arrivant près de la ville de Magadan, l’avait empêché de réaliser son projet. N’étant pas du genre à abandonner ses buts, Marc remet sur pied un projet de voyage afin de rejoindre la péninsule volcanique. Environ deux ans avant le grand jour du départ, Marc rencontre Jeanne-Sarah Savart qui sera sa partenaire de voyage ainsi que la rédactrice du livre qui relate l’histoire de ce voyage.

C’est à bord d’un Land Cruiser BJ75 que les deux passionnés ont décidé d’amorcer leur aventure. Ils partirent en 2012 en passant par l’Europe, la Turquie, le Caucase, L’Asie centrale, la Mongolie, la Russie et le Japon.

On n’entreprend pas de tels périples avec n’importe quel véhicule. Acheté six mille euros (8954$ canadien aujourd’hui )  en 2001 avec 270 000 km au compteur, le Land Cruiser a dû subir plusieurs modifications afin d’accomplir sa lourde tâche deux ans plus tard. Au début de l’aventure, les compteurs indiquaient déjà 434 435 km et le périple allait y ajouter 70 000 km de plus.

La motorisation : La première grande transformation concerne le changement de moteur. Le moteur d’origine étant 4 cylindres diesel de 3,4 litres (un 3b) ne développait que 90 hp (ce qui était insuffisant pour ce voyage). Le moteur a donc été remplacé par un moteur Toyota plus moderne provenant d’un HDJ80, 12 valves, turbo diesel de 4,2 litres (1HDT) faisant grimper la puissance à près de 170 hp. La modification a d’ailleurs forcé Marc à changer les supports moteurs, radiateur, alternateur, filtre à l’air, etc.

Pneumatique : Pour les pneus, ils ont opté pour des Michelin YZL, 255/100-16 et  des Toyo Open Country M/T 265/75-16 pour la partie du voyage enneigée.

Suspension : Pour cet aspect, Marc a installé des amortisseurs au gaz OME doublés à chaque roue, ainsi que des lames King Spring HD OME HHD à l’arrière.

Réservoir à essence : Afin d’avoir une bonne autonomie, le véhicule bénéficie de trois réservoirs; celui d’origine de 90 litres, un central de 95L (longue range automotive) et un troisième réservoir de 150 Litres situé à l’arrière. Cela semble faire beaucoup mais pour vivre ce genre d’aventure, le manque d’essence ne doit pas être une préoccupation.

L’argent : C’est bien sûr une des premières choses qui nous vient en tête lorsqu’on entend parler d’un tel projet, combien peut coûter un tel voyage? Dans leur cas, ils m’ont confié qu’ils avaient évalué leur budget à 1200 euros par mois, soit environ 1791$ canadien. Ce montant comprenait les visas nécessaires, la nourriture, quelques réparations et l’essence qui comptait pour la moitié du budget. Ils ont pu bénéficié du financement d’un magazine hors route français. En échange, Jeanne-Sarah devait rendre 7 pages d’article tous les mois sur leur voyage. Ils ont aussi eu la chance d’avoir une commandite majeure d’Euro4x4parts qui a beaucoup aidé, en envoyant des centaines de pièces de rechange durant le périple.

Je leur ai demandé de quoi avait l’air une journée typique pour eux. Voici ce qu’a été leur réponse; ”La découverte et l’imprévu ont été notre lot quotidien durant ces deux années. Il n’y avait pas de plan défini. À part les contraintes de visas, nous avons navigué au hasard et au gré de nos rencontres. Finalement, nous avons peu roulé, préférant rester quelque jours pour profiter d’un endroit ou des gens. Notre véhicule nous permet de bivouaquer n’importe où et d’être autonomes dans la nature ou en ville. Nous avons donc dormi principalement dans notre 4×4 ou chez les habitants qui nous invitaient. Il faut dire que notre Land Cruiser est un outil de socialisation incroyable. Il attire l’attention, les questions et permet de faire des connaissances.”.

Bien sûr nous avons voyagé par toutes les saisons. Il y a eu des périodes de froid intense et des grosses chaleurs. Durant notre passage en Sibérie cet hiver, notre chauffage, qui s’était déjà endommagé lorsque nous avons renversé le camion quelque mois plutôt, a refusé de fonctionner alors qui faisait -40 c. Nos duvets sont heureusement prévus pour de très basses températures et nous dormions avec nos chapkas sur la tête. Finalement, le plus dur n’aura pas tant été de résister au froid que de gérer notre approvisionnement en eau. Une heure pour décongeler une bouteille chaque matin, de quoi mourir de soif devant un gros glaçon.

Même si chaque jour l’excitation de la nouveauté était au rendez-vous, rien n’a égalé la dose d’adrénaline que nos aventuriers ont eue lors de la traversée du lac Baïkal. Situé dans le sud de la Sibérie, en Russie orientale. Ce lac représente la plus grande réserve d’eau douce liquide de la surface du monde, soit environ 23 500 km3. Sa transparence est unique et la visibilité parfaite (jusqu’à 40 mètres de profondeur). Il est parfois surnommé la Perle de Sibérie. Ils ont donc fait ces 400 quelques kilomètres sur le lac gelé.  Parfois en pleine tempête et en évitant les crevasses, ils ne perdaient jamais de vue que la glace pouvait céder à tout moment. À cet endroit, l’aide est tellement loin, que le temps que les secours arrivent. ils auraient sûrement eu le temps de se transformer en Mr Freeze.

C’est justement la somme de cette adrénaline et de tous les péripéties qui les a convaincus d’en faire un livre. Il ne s’agissait plus d’un simple trajet, mais bien d’une aventure qu’ils avaient envie de partager avec le reste du monde. Marc, étant photographe professionnel, pouvait  apporter une touche très personnelle que l’on peut admirer dans le livre. On peut aussi trouver un autre livre intitulé Davai Kamtchatka sur son premier voyage.

Je leur ai aussi demandé quel était leur prochain projet. Ils avaient déjà beaucoup d’idées en tête. Mais d’abord, ils devaient remettre le Land Cruiser en état puisqu’il a quand même légèrement souffert lors du dernier voyage. Un film sur leur aventure n’est d’ailleurs pas écarté des possibilités. Quant aux destinations à venir, l’Islande et l’Afrique sont les endroits qu’ils ont en tête.

Liens pour le site : https://www.facebook.com/lemondepourpassager/

Dave Daneault

Nokian Tire une compagnie pas comme les autres

 

 

 

Dernièrement grâce à l’équipe de Question Auto j’ai eu  la chance d’être invité par le fabricant Nokian à passer deux jours avec eux dans la région des Laurentides. Nous avons eu la chance d’avoir une présentation très détaillée de leurs produits. Nous avons aussi eu la chance de pouvoir tester nous-même quelques uns des produits disponibles chez la grande marque.

 

Nokian existe depuis 1918, mais la compagnie n’a pas toujours été dans le domaine du pneumatique. En effet plusieurs d’entre vous se souviendrons des fameux téléphones Nokia. La compagnie a par la suite misé sur un changement de direction et de nom.

 

La compagnie a comme credo ((Give you peace of mind in all conditions)) Vous donner la paix d’esprit peu importe les conditions. Et je crois qu’ils ont su respecter cette ligne directrice.

La compagnie se concentre beaucoup sur un haut niveau de qualité, elle vise donc les marchés indépendants plutôt que les marchés en gros. Vous ne risquez donc pas de trouver des pneus de la grande marque au Costco ou Canadian tires. Les dirigeants de la marque ont de grandes ambitions et voient très grand. Ils prévoient d’ici 2023 de doubler leurs ventes globales. Ce qui est très ambitieux dans un domaine aussi compétitif. Afin d’y arriver, Nokian est présentement en train de construire une toute nouvelle usine de production qui se trouve aux Etats-Unis, ce qui fera un total de trois en comptant celle de Finlande Nokia et Vsevolozhsk en Russie. Nokian est d’ailleurs le premier exportateur de produit de Russie.

 

Les premiers pneus que nous avons eu la chance de tester sont les ZLINE A/S qui se retrouvaient sur une Audi A4.

Ce pneu a été développé spécifiquement pour les voitures sport de luxe. Il ne se veut pas un pneu dit performance brute mais un pneu qui offre à la fois des compétences sports et en même temps offre un grand confort pour les longues routes. Parfait pour les propriétaires de Audi, Lexus etc qui veulent à la fois performance et confort sur la route. Nous avons eu la chance de tester ce pneu sous une forte pluie et je n’ai que de bons commentaires.

En fait si je voulais décrire ce modèle je dirais qu’il est prévisible, aucune surprise, il est stable même à grande vitesse et ne donne aucun kick , vous savez où il vous amène sans surprise. Le pneu se vide très bien d’eau et nous a donné en aucun cas un effet d’aquaplanage.

Lors des freinages dans l’eau le véhicule répond très bien et le pneu ne démontre aucun glissement.

Ce pneu possède aussi la technologie de protection de flanc avec fibre d’aramide, produit utilisé dans la fabrication de veste pare-balle. Résultat très impressionnant pour un pneu qui ne se défini pas en tant que pneu 100% sport haute performance.

 

Le deuxième pneus testé était un Nokian Rotiiva AT. Nous l’avons testé sur un Silverado 2018. Avec une semelle plus agressive que le Zline A/S celui-ci est pourtant surprenamment  très silencieux sur la route. Il offre une bonne tenue de route même si le camion n’avait pas de poids dans la boîte et ce, même à haute vitesse.

Le camion ne cherche pas à partir d’un coté ou de l’autre. Ce pneu a le flocon qui lui donne la vocation hivernale. Mais la compagnie s’empresse de dire que même s’il est perçu comme ça, eux ne le considèrent pas comme un pneu d’hiver. Faut comprendre que Nokian est un chef de file dans le domaine du pneu à neige/glace. Ils aiment mieux le définir comme un pneu 4 saison. Il est caractérisé par un très haut indice de charge. Parfait pour des utilisations en chantier dans les routes de gravier et pour des véhicules qui doivent avoir une forte charge. Les pneus sont munis de flancs contenant de l’aramide, une technologie développée par le centre de recherche chez Nokian. L’Aramide est un produit utilisé dans les vestes pare-balles, elle offre une protection contre les nids de poule ou d’autre autres bris dûs à un impact.

Avec une garantie de 80 000km c’est un choix intéressant. Nous n’avons pas eu la chance de le tester énormément dans les chemins non pavés mais pour le peu que nous avons vu le camion continuait de très bien répondre dans les tournants prononcés. Pour ce qui est des freinage sur chaussé humide le produit se débrouille très bien.

Parlons un peu des technologies et du développement effectué par la compagnie.

–La compagnie se démarque en offrant un modèle de clous qui se différencient de tous les autres que l’on retrouve sur le marché.  Les ingénieurs ont remarqué que les clous standards utilisés par la plupart des manufacturiers offraient des désavantages considérables. L’ajout d’un coussin entre le bas du clou et le pneu permet de ménager les surfaces en permettant au clous de se rétracter légèrement. La base carrée du clou lorsque mis sous pression venais souvent entrer en contact avec le sol ce qui réduit donc l’efficacité. Les ingénieurs ont développé une base en angle qui élimine ce problème. On retrouve aussi un pourcentage d’usure à meme le pneu.

 

–La compagnie est très au fait des problèmes de pollution et a voulu faire sa part. Les représentants de la compagnie son très fiers de pouvoir dire qu’aucun de leurs produits ne présentent de traces de produits chimiques.

 

—–Garantie : fait à noter, le fabricant offre une garantie très intéressante. Si un Hazard de route cause un bris sur un de vos pneus, il vous en coûtera que 20$ pour remplacer celui-ci. Une garantie satisfaction est aussi offerte, si dans les 30 jours suivant l’achat vous n’êtes pas satisfait on vous offre un remboursement complet du produit et non pas un crédit en magasin.

 

En conclusion, Nokian sort du lot, ils aiment sortir des sentiers déjà faits. La compagnie cherche à développer et non à suivre le marché existant. 4x4setup Magazine donne un gros Thumb-UPS à la compagnie. Je recommande à tous ceux qui mettent en priorité la sécurité de leur famille cet hiver de regarder du côté du fabricant afin d’avoir l’esprit tranquille.

A voir prochainement les résultats de nos test sur les tires Rock Proof. Pneus un peu plus hors route et cloutable.

 

 

Dave Daneault chroniqueur 4x4setup magazine .

ALDO Racing termine sixième en catégorie au rallye Desafio Inca au Pérou

Montréal, 17 septembre 2018 —

David Bensadoun et Patrick Beaulé ont passé trois jours à défier l‘immensité de la mer de sable du grand désert d’Ica, site du rallye Desafio Ica qui s’est terminé dimanchMontréal, 17 septembre 2018 — David Bensadoun et Patrick Beaulé ont passé trois jours à défier l‘immensité de la mer de sable du grand désert d’Ica, site du rallye Desafio Ica qui s’est terminé dimanche dans la ville oasis de Huacachina au Pérou. Pour les pilotes de l’équipe ALDO Racing, le défi était de taille puisqu’ils devaient déjouer les pièges des organisateurs au volant d’un Maverick XRS côte à côte loué sur place dont ils ne connaissaient ni les atouts et surtout ni les faiblesses. Après avoir surmonté des difficultés angoissantes durant deux de ces trois journées, ils ont réussi l’exploit de compléter le rallye-raid en sixième place dans la catégorie UTV Open avec moteur turbocompressé.

Cette expérience a permis aux deux pilotes de rétablir leur complicité après deux années d’inactivité. Ce préambule au rallye Dakar 2019, qui se déroulera entièrement au Pérou et dont 70 % du parcours éreintant empruntera des chemins non balisés du désert du pays des Incas, aura permis au duo québécois de vivre de près l’intense compétition qui les attend en janvier prochain.

« L’organisation du rallye était parfaite, a souligné le copilote Patrick Beaulé. Le niveau de navigation et de pilotage était très élevé, car les planificateurs du parcours avaient pris soin de défier autant les pilotes que les copilotes. La crainte était à son comble chaque fois qu’on atteignait une dune cassée à 90 degrés à la descente. Nous avions un peu d’expérience dans les dunes, mais jamais on ne les avait traversées de long en large et dans tous ses angles possibles.

« Les leçons apprises lors du Desafio Ica sont importantes. J’ai renoué avec la navigation après deux ans d’absence et en plus, j’ai compris le style de l’organisateur au niveau des attrapes cachées dans le livre d’instructions quotidiennes (road book). David et moi avons aussi profité de l’occasion pour échanger avec des pilotes et copilotes péruviens qui nous ont expliqué comment lire et analyser les trappes de sable mou et les dunes cassées. Cette expérience nous servira lors du Dakar en janvier prochain. »

Rappel des trois jours d’activités en piste
Jour 1 : Journée de misère lors de la première des deux spéciales de vitesse de l’étape alors que le Maverick de l’équipe s’enlise sur la crête d’une dune. Sans pelle, ni cric hydraulique pour soulever le SxS, car ce véhicule n’est pas conçu pour rester pris, c’est à la main que les deux pilotes creusent le sable pour s’en sortir. Plus loin, nouveau pépin alors que le véhicule s’est renversé sur le côté. On ajoute à cela un mal du désert qui afflige David à trois occasions. Tous ces retards leur font manquer le départ de la deuxième spéciale de la journée. Ils sont derniers au classement général dans leur catégorie.

Jour 2 : Une excellente journée presque sans anicroche malgré les nombreux pièges techniques laissés par les organisateurs. Un arrêt imprévu de 10 minutes pour changer une courroie leur coûte le troisième rang de la journée. Malgré ça, ils occupent maintenant la huitième position au général.

 

Jour 3 : À 30 kilomètres de l’arrivée et sur les talons de la voiture qui les précédait, le Maverick pique du nez de l’autre côté d’une crête de dune. Sans le réaliser sur le coup, le véhicule était endommagé. Incapable de grimper les dunes, le duo s’improvise mécanicien pour réparer le ventilateur du radiateur. Au bout de 45 minutes d’efforts, ils reprennent la route et ils croisent l’arrivée au quatrième rang. En dépit de leurs ennuis de la journée, ils progressent quand même de deux échelons en catégorie pour terminer le rallye en sixième place du classement final.

Les amateurs peuvent revoir en images et par écrit les activités quotidiennes de l’équipe ALDO Racing lors de ce rallye sur leur page Facebook au https://www.facebook.com/aldoracingteam/.
e dans la ville oasis de Huacachina au Pérou. Pour les pilotes de l’équipe ALDO Racing, le défi était de taille puisqu’ils devaient déjouer les pièges des organisateurs au volant d’un Maverick XRS côte à côte loué sur place dont ils ne connaissaient ni les atouts et surtout ni les faiblesses. Après avoir surmonté des difficultés angoissantes durant deux de ces trois journées, ils ont réussi l’exploit de compléter le rallye-raid en sixième place dans la catégorie UTV Open avec moteur turbocompressé.

Cette expérience a permis aux deux pilotes de rétablir leur complicité après deux années d’inactivité. Ce préambule au rallye Dakar 2019, qui se déroulera entièrement au Pérou et dont 70 % du parcours éreintant empruntera des chemins non balisés du désert du pays des Incas, aura permis au duo québécois de vivre de près l’intense compétition qui les attend en janvier prochain.

« L’organisation du rallye était parfaite, a souligné le copilote Patrick Beaulé. Le niveau de navigation et de pilotage était très élevé, car les planificateurs du parcours avaient pris soin de défier autant les pilotes que les copilotes. La crainte était à son comble chaque fois qu’on atteignait une dune cassée à 90 degrés à la descente. Nous avions un peu d’expérience dans les dunes, mais jamais on ne les avait traversées de long en large et dans tous ses angles possibles.

« Les leçons apprises lors du Desafio Ica sont importantes. J’ai renoué avec la navigation après deux ans d’absence et en plus, j’ai compris le style de l’organisateur au niveau des attrapes cachées dans le livre d’instructions quotidiennes (road book). David et moi avons aussi profité de l’occasion pour échanger avec des pilotes et copilotes péruviens qui nous ont expliqué comment lire et analyser les trappes de sable mou et les dunes cassées. Cette expérience nous servira lors du Dakar en janvier prochain. »

Rappel des trois jours d’activités en piste
Jour 1 : Journée de misère lors de la première des deux spéciales de vitesse de l’étape alors que le Maverick de l’équipe s’enlise sur la crête d’une dune. Sans pelle, ni cric hydraulique pour soulever le SxS, car ce véhicule n’est pas conçu pour rester pris, c’est à la main que les deux pilotes creusent le sable pour s’en sortir. Plus loin, nouveau pépin alors que le véhicule s’est renversé sur le côté. On ajoute à cela un mal du désert qui afflige David à trois occasions. Tous ces retards leur font manquer le départ de la deuxième spéciale de la journée. Ils sont derniers au classement général dans leur catégorie.

Jour 2 : Une excellente journée presque sans anicroche malgré les nombreux pièges techniques laissés par les organisateurs. Un arrêt imprévu de 10 minutes pour changer une courroie leur coûte le troisième rang de la journée. Malgré ça, ils occupent maintenant la huitième position au général.

Jour 3 : À 30 kilomètres de l’arrivée et sur les talons de la voiture qui les précédait, le Maverick pique du nez de l’autre côté d’une crête de dune. Sans le réaliser sur le coup, le véhicule était endommagé. Incapable de grimper les dunes, le duo s’improvise mécanicien pour réparer le ventilateur du radiateur. Au bout de 45 minutes d’efforts, ils reprennent la route et ils croisent l’arrivée au quatrième rang. En dépit de leurs ennuis de la journée, ils progressent quand même de deux échelons en catégorie pour terminer le rallye en sixième place du classement final.

Les amateurs peuvent revoir en images et par écrit les activités quotidiennes de l’équipe ALDO Racing lors de ce rallye sur leur page Facebook au https://www.facebook.com/aldoracingteam/.

Un ménage plus que dû! Renouvellement de filage RamCharger 1978(partie 1)

Salut les trippeux!

Il y a souvent des projets qu’on remet et remet et remet à plus tard en réparant avec du ”temporaire/permanent” comme j’aime appeler ça! Parfois c’est par manque de temps, de compétences, de budget ou un beau mélange de toutes ces raisons!

Dans mon cas, j’ai toujours eu un peu peur du filage d’un véhicule. Je ne sais pas trop pourquoi, je suis pourtant à l’aise avec l’électricité de maison mais on dirait que le 12v, pour qu’il soit bien fait, m’intimide. Je suis capable comme tout le monde de splicer des fils et poser des switchs mais pour que ce soit bien fait, avec les bons gauges de fils et bons relais aux bons endroits, ça me prenait un coup de main!

Heureusement, j’ai des calvaires de bons chums! J’ai repoussé ce projet pendant presque 8 ans… Alors quand mon ami Patrick Dessureault (propriétaire de Hard-Core Cycle à Portneuf) m’a offert son aide, je ne pouvais refuser! Pat a commencé a jouer avec des machines avant de marcher! Motos, 4×4, chars, pickups, il n’y a pas grand chose qui marche au gaz que Pat n’a pas déjà modifié… D’ailleurs, si vous voulez une moto complètement hors de l’ordinaire et modifiée de A à Z, peu importe la sorte, pas de discrimination, Pat et la gang de Hard-Core Cycle sont vos hommes!

Maintenant, mon projet. Mon truck est un Dodge Ramcharger 1978 qui a quitté la route pour faire une sieste dans une grange en 86 et que j’ai ramené à la vie en 2007… J’ai modifié une montagne de chose sur le truck question de me faire un vrai  bon truck de trail et éventuellement, je vous ferai un article sur mon build au complet en général… Comme vous pouvez le voir sur les photos, j’ai décidé de le monter dans le style rat rod, parce que j’adore ce look et que les bosses et autres souvenirs de trail font moins mal au coeur! Mais un aspect que j’avais toujours rafistolé et semi entretenu en attendant d’avoir le courage de le faire comme il faut, c’est celui du filage/dash. Je voulais tout rafraichir ce vieux filage rabouté et me faire un dash fonctionnel avec seulement les cadrans que j’ai de besoin pour mon application.

Pat s’est donc lancé dans le nettoyage du filage en déterminant ce qui était quoi et ce qui nous serait encore utile. Par la suite, on a repassé des fils pour remplacer ceux qui étaient abîmés et refait les connections qui en avaient besoin. On a commencé par le dessous du hood question de compartimenter notre projet. Une fois le tout bien connecté en dessous du hood, on a tout re-tapé les fils ensembles question de protéger ces derniers et de faire une belle job propre.

Ensuite, on a fait un peu le même travail à l’intérieur du truck. Certains fils et certaines connections étaient devenues dangereuses! Vous pouvez voir sur la photo les connections de mon ampère-mètre qui étaient en train de prendre en feu! Et moi qui cherchait mon problème de charge intermittente depuis 2 ans!

Chez Dodge, dans ces années-là, tout le courant de l’alternateur passait par l’ampère-mètre avant de se rendre à la batterie. Voilà donc pourquoi ces connections lousses empêchaient mon truck de bien charger et étaient en train de faire fondre mon dash!

Une fois le grand ménage du filage fait, on pouvait se lancer dans la confection d’un nouveau dash comportant seulement ce dont j’avais besoin.  Revenez bientôt pour voir cette étape dans mon prochain article!

Alexandre Thibault, chroniqueur 4×4 set-up magazine

 

C’est un départ pour l’équipe ALDO Racing au rallye Desafio Inca au Pérou

 

Montréal, 14 septembre 2018 — Les pilotes David Bensadoun et Patrick Beaulé de l’équipe ALDO Racing ont pris le départ jeudi soir du podium d’honneur de l’édition 2018 du rallye Desafio Inca à partir de l’oasis de Huacachina situé en plein désert d’Ica dans le sud-ouest du Pérou. Ce court parcours de liaison les a menés au bivouac d’Ica d’où ils se sont élancés vendredi matin pour disputer la première étape spéciale de vitesse chronométrée de la journée. Pour les Québécois, il s’agit d’une première participation à cette course de trois jours, qui fait partie de la série Dakar Desafio Inca. L’équipe ALDO espère ainsi se remettre en forme pour le Dakar 2019 en janvier, rallye auquel ils sont déjà inscrits.

 

 

Au volant d’un véhicule hors-route côte à côte (SxS) Can-Am Maverick X3 XRS inscrit dans la catégorie 3,1 pour UTV Open avec moteur turbocompressé, David et Patrick se retrouvent parmi les 82 véhicules répartis en quatre catégories avec plusieurs subdivisions par catégorie. Ce rallye de vitesse de trois jours se terminera le dimanche 16 septembre.

 

Le départ et l’arrivée des cinq étapes du Desafio Inca se feront d’un bivouac fixe à Ica. Les deux premières journées des spéciales chronométrées de vitesse dans les sables fins du Pérou seront composées de boucles de deux tours chaque jour avec modifications majeures au deuxième passage de la journée. La cinquième et ultime étape se terminera dimanche vers 14 heures, heure locale d’Ica. Le convoi reprendra alors la route pour défiler devant la foule vers le podium d’honneur d’Huacachina.

 

Questionné à propos de ses objectifs au Desafio, David Bensadoun avait ceci à dire : « Notre objectif est de se servir de cette course pour perfectionner notre pilotage. Aujourd’hui, nous allons traverser 300 km de dunes. Une grosse journée au Dakar est d’environ 180 kilomètres ! Les pilotes locaux, inscrits en grand nombre, sont très rapides et connaissent le désert comme le fond de leur poche. Ils sont capables de très bien lire le désert. Hier, j’ai appris que lorsqu’on monte une dune et qu’on voit un soupçon de noir à la crête, cela veut dire qu’il y a un « cendrier », une expression péruvienne pour dire qu’il y a un trou rempli de sable très mou de l’autre côté de la dune. Un endroit où l’on ne veut pas aller.

 

« Il est tout à fait fascinant de voir ici le nombre de produits Can-Am construits chez nous au Québec. Le Maverick est le véhicule de course par excellence ici dans le désert du Pérou, » a conclut David Bensadoun.

 

Mercredi au Pérou, David Bensadoun et Patrick Beaulé ont eu l’occasion de faire un essai intensif du Maverick afin de peaufiner leurs réglages. « Nous sommes allés tester le Maverick et nous avons fait des changements majeurs sur la suspension et la pression des pneus. Tout était trop mou. Pour le reste, c’était magnifique; puissance, confort, espace pour les longues jambes de David et un excellent champ de vision. En plus, David est loin d’avoir perdu la main. On dirait dit qu’il avait roulé dans les dunes toute sa vie ! Les gens de la place nous ont dit de ne pas prendre cette course à la légère, car il n’est pas tombé de pluie depuis longtemps et que le sable est très mou. »

Stephan Desrochers, le coordonnateur d’ALDO Racing, est présent au Pérou pour assister les pilotes de l’équipe. Il nous donne ses impressions après deux jours passés sur place. « Le bivouac est assez grand, ce qui nous donne amplement de place pour circuler et peut-être dormir en paix. Cependant, la communication avec les mécaniciens de l’équipe péruvienne Can-Am avec laquelle nous avons un contrat de location avec service complet pour le Maverick n’est pas évidente puisqu’on ne parle pas la même langue. Seulement, l’un d’entre eux parle et comprend l’anglais, mais il faut souvent utiliser le programme de traduction Google pour passer le message. On arrive tout de même par se comprendre et l’on apprend aussi un peu l’espagnol sud-américain. »

 

À la suite de chaque journée de compétition du rallye Desafio Inca, les médias et les amateurs pourront suivre les activités quotidiennes et les résultats de l’équipe ALDO Racing sur leur page Facebook au https://www.facebook.com/aldoracingteam/. Un communiqué final sera publié le dimanche 16 septembre à la conclusion du rallye.

 

La participation d’ALDO Racing au Desafio Inca est le fruit d’un partenariat avec le Groupe ALDO, E.F. Walters, Stingray, SAJO, la Corporation Vitesse Transport, le Groupe OEC et Investissements Fesh-Fesh.

Photo de David au volant du Can-Am Maverick X3 XRS SxS

Photo de Patrick Beaulé et David Bensadoun devant le stand d’ALDO Racing

Photo de la ligne des produits Can-Am au rallye Desafio Inca

Crédit photo : Stephan Desrochers/Équipe ALDO Racing

 

Source :

Max d’Orsonnens

514-246-8909

maxdo@videotron.ca

Aldo Racing au Pérou pour le rallye-raid Desafio Inca

4x4setup Magazine supporte le mouvement SAUVONS NOTRE PASSION

INITIATIVE DU MOUVEMENT :

Depuis quelques années, tous les amateurs de sports motorisés sont de plus en plus pénalisés, car les propriétaires de sites de compétitions du Québec ressentent une pression constante initiée par des citoyens des diverses municipalités où se retrouvent des circuits de course afin que soient restreintes, voir même abandonnées leurs activités. Le 26 juin 2018, la ville de Saint-Pie de Bagot a même adopté le règlement 235 permettant au service de police d’émettre des contraventions au propriétaire et promoteurs de la piste de Sanair, et ce, durant un évènement, pour « bruit excessif ». Un complexe pourtant établit depuis maintenant 50 ans !
Ce règlement crée un précédent, et pourrait être adopté par d’autres municipalités du Québec. Ce type de règlement nuit aux activités d’une piste de course et pourrait même conduire à sa fermeture. Les amateurs de sports motorisés souhaitent conserver leurs acquis et poursuivre l’exercice de leur passion dans des milieux sécuritaires, encadrés et légaux, tout en continuant de contribuer aux revenus des municipalités pour lesquelles des taxes sont versées.
En plus de la pression que subissent les promoteurs venant des citoyens ou de certaines municipalités, les promoteurs de sites de sports motorisés ont aussi à gérer les relations avec la Commission de protection du territoire agricole du Québec. Comme la plupart des sites de courses sont actuellement sur des terrains agricoles bénéficiant de droits acquis pour avoir été utilisés à des fins autres que l’agriculture avant 1978, les promoteurs ont aussi à se battre pour faire reconnaître ces droits sur la nature des activités. Ce facteur s’ajoute aux autres éléments avec lesquels les propriétaires et promoteurs de pistes de course ont à se battre pour conserver leur piste ouverte.

OBJECTIF DU MOUVEMENT :

1. Rassembler les amateurs et les travailleurs de cette industrie pour démontrer aux citoyens, à nos dirigeants et à nos décideurs, le vrai portait et les impacts du sport motorisé au Québec. Démontrer qu’il s’agit de pères et de mères de famille, de jeunes adultes ou encore d’adolescents en devenir, pour qui le sport motorisé est une passion, un loisir au même titre que peut l’être le hockey, le soccer, baseball ou tout autre sport collectif prisé par les résidents du Québec, toutes origines confondues.
2. Faire la démonstration que l’ensemble des activités de sports motorisés est une industrie majeure dans la belle province et qu’elle génère des retombées économiques et touristiques majeures pour tout le Québec.
3. Préserver la quiétude et l’ordre public sur les routes du Québec, et préserver un bilan routier positif. Les circuits de course comblent un besoin de défoulement qui est encadré et sécuritaire. Afin de préserver l’ordre et la paix publics, il est important de maintenir nos pistes et circuits de course bien en vie afin que les amateurs de vitesse poursuivre leurs activités en circuits fermés plutôt que sur les routes.
4. L’objectif ultime du mouvement est d’obtenir des autorités gouvernementales du Québec la mise en place et l’adoption éventuelle d’un projet de loi qui rendrait obligatoire la négociation d’ententes à l’amiable entre les municipalités concernées, les propriétaires de sites de compétitions de sports motorisés et les promoteurs d’évènements, et ce, à la satisfaction des parties concernées. À défaut d’en venir à des ententes négociées, en toute bonne foi entre les parties, le gouvernement provincial se réservera le droit de nommer un médiateur spécial afin mener à terme ladite entente et ce, excluant, dans tous les cas, la fermeture ou la vente obligée des sites de compétitions déjà en place ou tout projet d’implantation de nouveaux sites.

L’INITIATEUR DU PROJET

Fort connu dans le milieu du sport motorisé depuis plus de 20 ans, monsieur Martin D’Anjou est le président des Évènements Festidrag Inc. et coproducteur et animateur de l’émission Festidrag.TV diffusée sur une multitude de plateformes télévisuelles et web. Il jouit d’une réputation exemplaire dans le milieu, possède de nombreux contacts et bénéficie d’une tribune de premier plan pour diffuser et parler du mouvement. Reconnu comme un rassembleur, monsieur D’Anjou a su s’entourer de personnalités connues et reconnues dans le milieu du sport motorisé et aussi dans le monde des médias. Tous appuient et se joignent à la cause et au mouvement.

BERTRAND GODIN, PORTE-PAROLE

Monsieur Bertrand Godin pilote automobile, formateur à l’École nationale de police de Nicolet, chroniqueur automobile, mais aussi porte-parole en matière de sécurité routière et prévention au Québec, a accepté d’emblée le rôle de porte-parole du mouvement « Sauvons notre passion ».

DES APPUIS DE TAILLE :

Plusieurs personnalités connues du milieu de sport motorisé ont manifesté leur appui au mouvement notamment :
  • Dany Bernier « Babu », animateur radio populaire dans la région de Québec ;
  • Sylvain Bourgeois promoteur d’évènements et porte-parole de « Légèrement crinqué » ;
  • Patrice Brisebois, ex-joueur de hockey de la ligue nationale et aussi pilote automobile ;
  • Patrick Carpentier, pilote automobile et chroniqueur télé ;
  • Didier Schrannen, pilote automobile et chroniqueur télé ;
  • Claude Bourbonnais, pilote automobile et instructeur
  • Andrew Ranger, pilote automobile et instructeur
  • Louis-Philippe Dumoulin, pilote automobile et instructeur
  • Jean-François Dumoulin, pilote automobile et instructeur
Pour n’en nommer que quelques-uns.
À ces personnalités de renoms il faut ajouter tous les pilotes amateurs, semi-professionnels et professionnels du Québec. Ils sont quelques milliers. Évidemment, tous les propriétaires et locateurs des différents sites de compétitions du Québec ainsi que tous les promoteurs d’évènements indépendants du monde du sport motorisé québécois. Le mouvement s’étend même à l’industrie du camionnage qui ont aussi manifesté leur appui à la cause, plus particulièrement monsieur Daniel Beaulieu de « L’heure juste du camionneur » et « Truck Stop Québec » qui profite d’un des auditoires web les plus imposants de l’industrie. Le monde de la moto est aussi bien représenté avec l’appui du constructeur connu Jean-Jacques Leduc ainsi que le pilote de Motocross« Freestyle »Benoît Milot, qui a parcouru le monde entier pour exercer sn talent exceptionnel… développé d’abord au Québec !

LE RASSEMBLEMENT DU 3 SEPTEMBRE 2018

Tous les amateurs et passionnés de sports motorisés du Québec, toutes catégories confondues, sont invités au regroupement pacifique Sauvons notre passion, le lundi 3 septembre 2018 à l’Assemblée nationale du Québec, sous le thème « JE LAISSE MA TRACE ». Nous souhaitons de façon symbolique encercler le Parlement de Québec par une chaîne humaine d’amateurs et supporteurs du sport motorisé québécois.

LE 3 SEPTEMBRE, JE LAISSE MA TRACE

Laisser notre trace ne signifie pas faire des shows de boucane, des traces de pneus ou tout geste illégal. Nous souhaitons laisser notre trace en tant que COLLECTIVITÉ et aussi pour faire la démonstration à tous, que nous ne sommes PLUS simplement des « brûleurs de gaz » ou des « crieurs de pneus ». Nous demandons à ce que notre passion soit respectée alors, le 3 septembre respectons aussi tout le monde dans le cadre de ce rassemblement. Laisser notre trace c’est nous faire voir et nous faire entendre par tous les gens qui ne nous connaissent pas avant cette journée qui sera déterminante pour le sport motorisé québécois.
L’organisation de ce rassemblement pacifique a été planifiée de façon professionnelle et sera effectuée en toute légalité. L’organisation s’est assurée d’obtenir les autorisations nécessaires à la tenue de ce rassemblement. D’ailleurs, à l’Assemblée nationale, des agents de sécurité et Ambulance St-Jean seront sur place afin d’assister les participants au cas de besoin. Un service sanitaire sera également disponible sur le site de l’évènement.
TOUTE ORGANISATION QUI SOUHAITERAIT SUPPORTER LE MOUVEMENT ET LA CAUSE EST LA BIENVENUE. NOUS VOUS RAPPELONS QUE CELA DOIT ÊTRE FAIT PACIFIQUEMENT ET DANS LE RESPECT DE L’ORDRE PUBLIC. SI VOUS REVENDIQUEZ AUTRE CHOSE QUE CE QUI A ÉTÉ DÉCRIT PLUS HAUT, NOUS VOUS INVITONS À FAIRE LES DÉMARCHES QUI S’IMPOSENT POUR CRÉER VOTRE PROPRE MANIFESTATION OU RASSEMBLEMENT. IL NE S’AGIT PAS D’UNE MANIFESTATION D’AUTRE NATURE ET OBJECTIFS QUE CEUX DÉCRITS AUX PRÉSENTES. L’ORGANISATION N’ENDOSSERA AUCUNE AUTRE CAUSE ET DÉSORDRE OCCASIONNÉ PAR DES MANIFESTANTS N’AYANT PAS LES MÊMES OBJECTIFS QUE LES PRÉSENTES.

AFFICHEZ LES COULEURS DE VOTRE ÉQUIPE DE COURSE FAVORITE !

Pour l’occasion, nous vous invitons à arborer les couleurs de votre écurie de course ou de votre pilote favori ! Portez des vêtements de course, apportez des drapeaux, flûtes et trompettes, tout ce qui aidera à nous faire remarquer et entendre !

DÉROULEMENT

  • 8 h à 12 h : Arrivée des participants (apportez votre pique-nique !)
  • 12 h : Prise de parole des intervenants (Martin D’Anjou, Bertrand Godin, politiciens, …)
  • 12 h 30 : Explications du parcours et du déroulement de la marche
  • 13 h : Départ
  • 14 h 30 : Retour au point de départ, prise de parole
  • 15 h : Fin

INFORMATIONS IMPORTANTES

DATE & HEURE :
  • Lundi 3 septembre 2018 (beau temps, mauvais temps)
  • 8 h à 12 h : Arrivée
  • 13 h : Départ de la marche
LIEU :
Assemblée nationale du Québec, 1035 rue des Parlementaires, Québec, QC, G1A 1A3
SITE WEB :

DÉPLACEMENT ET STATIONNEMENTS

** Ne vous dirigez pas vers la Colline parlementaire avec votre véhicule. Il ne faut pas congestionner le Vieux-Québec et la Colline parlementaire et troubler l’ordre public. Il faut minimiser les impacts négatifs et les débordements de gens ou groupes mal intentionnés qui pourraient nuire à l’image du mouvement.
Afin d’éviter la congestion et le manque de stationnements, nous vous recommandons fortement d’utiliser les Parc-o-bus et le service de transport du RTC.
Informations sur les parc-o-bus :
Prévoir un itinéraire :
Informations sur les parcours, horaires et arrêts :
Le tarif en monnaie exacte est de 3,50 $ par déplacement, pour plus de détails :
Vous pouvez également utiliser « RTC Nomade temps réel » pour l’information en temps réel. L’application mobile peut être téléchargée sur l’Apple Store et Google Play :

LOI SUR LES CONVOIS

L’organisation du rassemblement « Sauvons Notre Passion » tient à préciser qu’elle n’est pas responsable de l’organisation de convois pour le déplacement au lieu de rassemblement. Ce sont des initiatives externes. Cependant, nous invitons fortement les organisateurs de convois à s’informer sur la façon de procéder pour l’organisation d’un convoi légal.
Comment monter en convoi et être légal ? — Loi sur les convois.
335. Le conducteur d’un véhicule routier qui en suit un autre doit le faire à une distance prudente et raisonnable en tenant compte de la vitesse, de la densité de la circulation, des conditions atmosphériques et de l’état de la chaussée.
336. Sur un chemin public où la vitesse maximale permise est de 70 km/h ou plus, les conducteurs de véhicules routiers qui circulent en convoi doivent laisser, entre eux un espace suffisant pour permettre à ceux qui les dépassent d’occuper sans danger l’espace intermédiaire.
Vulgarisation :rester à une distance sécuritaire de la voiture devant vous, tout en considérant les conditions environnantes (circulation, météo, état de la route, etc.). Il faut également permettre aux personnes qui voudraient dépasser le convoi de pouvoir s’insérer entre les voitures du convoi et de continuer le dépassement dans la voie de gauche lorsque voulu.

LOI SUR LES VÉHICULES MODIFIÉS

Voici ici quelques lois sur les voitures modifiées qui pourraient vous aider à éviter des contraventions.

REMERCIEMENTS SPÉCIAUX

Nous sommes très heureux de l’organisation de cet évènement et le tout ne serait pas possible sans tous ces gens passionnés qui ont participé à la création des documents, des vidéos promotionnels, du site Internet et bien plus. Nous tenons également à remercier : le lieutenant Richard Hamel, du Service de Police de la Ville de Québec, madame Karina Leblanc et madame Brigitte Bédard de la Direction de la Sécurité du Parlement.

Les secrets cachés de Jeep

Au fil des ans la marque Jeep nous a habitués à cacher quelques surprises dans leurs véhicules. Plus communément appelés Easter Eggs en anglais ou œufs de pâques, ces petites surprises se définissent souvent en représentation, un peu partout sur le véhicule, en lien avec le modèle ou la marque de celui-ci. En voici quelques-un dans différents modèles du fabricant. Plusieurs de ceux-ci se retrouvent dans le jeep Renegade.

Commençons par une des plus populaires , la pédale repose-pied du jeep Renegade, qui représente en fait un code morse. N’ayant pas personnellement fait partie des scouts étant jeune, j’ai dû consulter le web et le code voudrait en fait dire.

Sand.

Snow

River

Rock

On passe ensuite au pare-brise avant et arrière, où le fabricant a décidé de cacher quelques petits dessins. Dans la vitre avant, on a placé un dessin du classique Jeep Willys, jeep envoyé pour l’armée américaine lors de la Deuxième Guerre mondiale. 

On le retrouve entre autres dans le Jeep Renegade, le Grand Cherokee, le Wrangler et le Cherokee.

Pour la vitre arrière du Renegade, on retrouve une représentation du sasquatch, un emblème de vie hors des villes.

 

On va passer rapidement sur le prochain, la compagnie a placé à plusieurs endroits et sur plusieurs modèles le logo de la grille avant du jeep à 7 fentes. Vous en retrouverez un peu partout c’est-à-dire dans les lumières avant et arrière du Renegade, gravé dans la console de miroir, porte arrière du coffre et à plusieurs autre endroit.

 

 

Plusieurs cartes se retrouvent dissimulées dans les véhicules. Dans la majorité des cas il s’agit de la carte de l’Utah, endroit très prisé et reconnu pour ses attributs hors route. Dans les consoles appuis bras, dans l’espace rangement des portes, compartiments de rangements devant votre levier de vitesse.

 

Le fameux X qui n’a pas été très populaire auprès du public que l’on peut voir sur les feux arrière du modèle Renegade se retrouve à quelques endroits sur le véhicule. Le X est une représentation afin de rappeler celui que l’on retrouve sur les bidons d’essence que l’on retrouvait sur les premiers jeeps envoyés au combat.

 

On en retrouve sur le toit, ou dans les porte-verres au fond. On peut apercevoir aussi une araignée lorsque l’on ouvre la porte du réservoir d’essence. Cette représentation se veut l’image du type de bestiole que l’on peut retrouver dans les lieux plus éloignés.

Certains diront qu’on peut trouver environ 30 à 40 secrets comme ça, mais en voici les principales selon nous. Il s’agit quand même de beaux efforts de la marque afin de faire un petit quelque chose de plus même si ça n’apporte rien aux performances du véhicule.

Dave Daneault chroniqueur 4x4setup magazine

Restaurer de vieux outils

Dans le monde du hors route une grande partie des passionnés sont aussi passionnés de fabrication. Vous avez sûrement constaté, dans l’évantail d’articles du magazine, que nous essayons de couvrir aussi cet aspect qui, selon nous, est très important pour nos lecteurs. Ce qui m’amène d’ailleurs à ma petite chronique de cette semaine.

Je suis moi-même très intéressé par les outils neufs ou anciens et particulièrement par la restauration de vieux outils. C’est d’ailleurs un ami proche qui m’a fait découvrir cet aspect des outils.

Cette semaine j’ai décidé de vous montrer la restauration que j’ai faite d’un étau.

Il y a plusieurs avantages à restaurer un outil plus ancien. Dans certain cas, vous pouvez sauver un montant considérable d’argent. Malheureusement ceci n’est pas garanti à chaque fois, tout dépend si vous réussissez à dénicher une perle rare. Dans mon cas c’est ce qui est arrivé. Je cherchais depuis longtemps un étau robuste, ceux qu’on retrouve dans les magasins à grande surface sont souvent petits ou manquent de robustesse. Oui je sais qu’il est possible d’en trouver des gros très résistants, mais les coûts sont au-delà du budget que je voulais consacrer à cet achat.

Donc, un ami à moi possédais, via son père, un vieil étau. Je me suis  arranger avec lui en procédant à un un troc contre un autre outil qui ne me servait plus. L’étau paraissait un peu mal en point, mais bien sûr la rouille donne souvent une impression pire que la réalité.

 

J’ai donc commencé par un bon nettoyage avec un produit décapant assez puissant pour retirer les vieilles graisses et saletés logées depuis plusieurs années.

 

 

 

 

 

 

Par la suite, afin de retirer la rouille, nous avons passé un sablé au buffer à la grandeur de l’outil, mais étant donné le nombre de ”racoins” on à complété à la main et avec une brosse d’acier.

 

Une fois le rouille retirée, nous avons pu constater les dommages. On s’est aperçu qu’il y avait un trou sur le devant de l’étau qui avait été à l’époque rempli avec une sorte de pâte. On a donc retiré cette pâte à l’aide d’un buffer et tout nettoyé de nouveau.

 

J’ai rempli le trou en soudant par-dessus et ensuite fait disparaître les traces de la soudeuse à l’aide d’un buffer.

J’ai ensuite choisi une couleur que je trouvais à mon goût, et pris soin de choisir une peinture possédant une bonne résistance.

 

 

 

J’ai par la suite graissé les parties mobiles. Étant donné que nous avons parfois des pièces un peu plus fragiles, j’ai acheté deux protèges-serres qui évitent d’abîmer les morceaux que vous y pincez.

 .

Et vous quel outil avez-vous restauré ?

Dave Daneault, chroniqueur 4×4 set-up magazine.

De l’overlanding de luxe

La compagnie Black Series Campers inc. est une entreprise familiale qui est en affaires depuis maintenant près de 10 ans. Nous leur avons demandé si le marché Canadien était dans leur ligne de mire et leur réponse fut assez claire : la compagnie a déjà approché certains commerçants du Canada.  Leurs remorques respectent les standards DOT. La famille a ainsi produit environ 10 000 remorques depuis leur début.

Cette semaine je vous présente un super produit : un campeur hors-route produit par eux. Sachez que plusieurs modèles sont disponibles mais je voulais vous présenter un de ceux qui ont attiré mon attention par sa qualité de conception.

Il est donc possible de choisir parmi  8 options. Dépandament de vos besoins, 4 modèles que je décrirais plus comme des remorques dépliables… Ou 4 types roulotte hors route. Votre choix sera bien sûr motivé par vos besoins, types d’excursions, types de terrain et, bien sûr, votre budget.Le modèle que j’ai décidé de vous présenter est le modèle HQ19, qui est selon moi le modèle le plus haut de gamme qu’offre la compagnie.

 

SUSPENSION:

Du côté de la suspension la compagnie a travaillé à développer une suspension la plus solide possible. Ils ont fabriqué eux-même les bras de suspension. C’est un système à quatre amortisseur qui vient travailler sous le véhicule.

 

L’INTÉRIEUR:

L’intérieur offre un luxe très surprenant . Des produits de qualité comme les fini bois ou même les vrais cuirs donnent un look assez tape-à-l’oeil. Beaucoup de luxe que certain pourrait juger inutile en sentier mais qui pour d’autre pourrait être très apprécié.

 

  

La compagnie offre une garantie raisonnable de 5 ans sur la structure et plusieurs autres composantes.

 

LES PIÈCES :

Salle de bain toute équipée comprenant toilette, un évier, une douche et même une machine à laver.

 

La cuisine comprend les accessoires habituels sois le four, le micro-onde, et le réfrigérateur

 

La chambre à coucher offre une très bonne dimension pour le lit ainsi que du rangement.

Les deux panneaux solaires de 150 watts montés sur le toit de la remorque vous permettent de recharger vos 4 batteries ce qui est un gros plus lorsque vous êtes loin des points de services.

En ce qui concerne le prix… Bien on parle d’un 59 999 $ US.. Mais si vous trouvez le prix un peu trop élevé pour votre budget, sachez que la compagnie offre beaucoup d’autres modèles adaptés à plusieurs sortes de portefeuilles.

Le système d’attache remorque est un système conçu pour le hors route qui vous permet une rotation de 360 dégrée. Ce petit avantage n’est pas à négliger pour les amateurs de sentier plus… vallonneux.

Comme le modèle PATRON par exemple qui est beaucoup plus petit et qui offre une expérience un peu moins luxueuse, mais tout autant agréable selon nous.

PATRON

Qui est affiché à un prix de vente de 22 999 $ US.

Ce modèle est plus de type remorques dépliables. Il possède le même setup de suspension indépendant avec quatre amortisseurs que les autres modèlent, Setup conçu d’ailleurs par la compagnie. Le modèle comprend une cuisinière extérieure en acier inoxydable. Avec une cuisinière intégrée et un brûleur à trois ronds. La tente peut être montée facilement en 8 minutes par deux personnes.

 

 

 

Ce modèle possède deux espaces-lits de grandeur très raisonnable munie d’éclairage à la D.E.L..

Étant donné la grosseur de ce modèle, qui est plus petit, il est bien sûr plus facile pour vous d’attaquer des terrains plus avancés.

 

Voici un petit album des différents modèles disponibles. Vous trouverez tout l’information sur leur site web à l’adresse suivante: https://www.blackseriescamper.com/index.html